Ce mal être vous rend morose avec une tendance à le dramatiser...
Pourquoi ?
Plusieurs causes à cette chute brusque de moral, le faisant passer du rose au gris.
Dédramatiser un coup de blues....c'est possible en se "repositionnant"
Petit cours de bien être.
- L'être humain n'est pas linéaire, subissant ses hormones, la biologie nous noyant parfois dans des états incompréhensibles.
Les femmes y sont plus enclines que les hommes....
- Certaines personnes sont cycliques, plus émotives que d'autres et ceci sans raison, enfin sans raison apparente.
Quelques conseils pour dédramatiser
- Réfléchissez un peu : auriez-vous occulté une petite contrariété, le déni de l'instant du "petit truc dérangeant" re-surgit parfois abruptement !
Un mauvais rêve peut "troubler" par sa d&charge émotionnelle !
Sachez le un petit rien suffit pour que le moral baisse !
Je ne vais pas dresser une liste de ces petits riens associés au coup de blues elle serait trop longue et surtout trop exhaustive.
En gros : contrariété amoureuse, professionnelle, quelqu'un semble vous ignorer, une invitation ou une occasion ratée, sensation de ne pas avoir été à la hauteur de... culpabilité, honte de...colère rentrée, météo pluvieuse, ras le bol etc...etc...
A vous d'identifier la cause de ce coup de blues...si il y en a une !!!
Nous réagissons toutes et tous de façon différente à la même situation.
C'est ici que la réaction à ce "matin chagrin" votre capacité à dédramatiser fera la différence.
- Si vous êtes du style à noircir la moindre chose, à l'amplifier, la ruminer, votre moral au fil de la journée s'assombrira, la courbe de votre humeur plongera dans des abîmes de questionnements sans réponse.
Vous serez "infernalement" grincheux(se) et/ou d'une tristesse accablante, tous ces joyeux états d'âme assortis d'une peur de déprimer longtemps...si vous avez déjà connu des périodes de déprimes.
Stop !
Adoptez une attitude plus objective : "ce n'est qu'un jour sans un moral d'enfer" demain ira mieux.
Si vous avez découvert la cause tant mieux, analysez-la et surtout prenez du recul en dédramatisant l'origine du mal être, qui a priori, ne change rien à votre vie.
Le danger le plus fréquent rencontré par un stressé/inquiet c'est l'anticipation : et si...faudrait que...
La situation n'est pas périlleuse, c'est l'idée que" peut être" il pourrait se passer ceci, à force de rumination l'idée devient certitude que oui vraiment demain sera catastrophique.
Moralité ce jour sans, acceptez-le pour ce qu'il est : "sans", votre mélancolie, vos mauvaises humeurs laissez-les passer, glisser sur vous comme le vent.
Ne confondez pas :
coup de blues très bref
et dépression,
petite contrariété avec remise en question fondamentale de votre être, et puis
il ne s'agit peut-être que d'un caprice d'enfant frustré...???
Souvenir, souvenir !
Donnez-vous le droit de bouder ce jour qui ne vous convient pas.
Cet article s'adresse aux femmes comme aux hommes, parité totale !
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Quelques conseils de bons sens...merci !
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