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samedi

La femme un être multiple. Quelle femme êtes-vous ?


La femme un être multiple. Quelle femme êtes-vous ?

Quand la psychanalyse s'intéresse à la femme, elle nous livre quelques profils de femmes.
A lire au 2éme degré car un profil "général" oblige à forcer le trait.


Des profils de femmes, des choix de femmes.
La femme, un être pas comme les autres.

 On ne naît pas femme, on le devient »
déclarait Simone de Beauvoir.
Erreur bien compréhensible venant d’une femme et d’une époque où la génétique ne nous savait pas encore " Femme " reconnue comme telle avant même notre apparition "extra utérus".
XX voilà ce qui nous différencie de "l’homme XY",  une histoire de chromosomes.
La Femme en référence ? Oui, de tout temps et aussi loin que nous remontions, la femme fut vénérée, détestée, rabaissée, soumise et toujours suscita l’interrogation, voir la crainte.
La peur de l’autre, cache des émotions paradoxales dans lesquelles l’homme se perd. La différence des sexes véhicula la crainte de l'autre, la femme en fut la victime quelques siècles.
 Au milieu du XXème siècle, les codes de la relation homme/femme se dénouent. L’éclatement de la place bien définie de la femme dans la société bouleverse la notion de couple.
Qui est qui, qui fait quoi ? Vaste question suscitant des conflits dans le couple, en soi-même . L'affirmation de soi revêt parfois des costumes inappropriés, trouver la bonne taille demande des ajustements.

Femme Référence : celle vers qui accourt l’enfant  avec un petit bobo, celle qui deviendra mère de sa propre mère l’âge venant, celle vers qui se tourne le compagnon en perte de vitesse, celle qui « porte » courageusement l’éducation des enfants et bien d’autres aspects de la vie quotidienne.
La femme vibre sur un vaste registre émotionnel, se projette plus que l’homme, plus instinctive, elle se noie parfois dans un océan de doutes sur le bien fondé de sa place dans la société, dans la vie. Entre indépendance désirée et dépendance archaïque, il lui faut avancer en toute conscience , parfois en aveugle avant de découvrir de nouveaux repères.

Adam & Ève !
Avant d’aller plus loin, découvrons les grands symboles antiques de la féminité. 
Ève tirée de la côte d'Adam, tentée par le serpent pour goûter au fruit défendu qu'elle  donne à Adam. Elle provoque la foudre de Dieu qui chasse le couple du Paradis, inflige à Ève  et sa descendance d'enfanter dans la douleur et la soumission éternelle à l'homme (d'après la Genèse)

Les « déesses mères » symbolisaient la terre et la fécondité, principe lunaire, fertiles, protectrices des enfants, mères nourricières.
Elles étaient vénérées pour obtenir de bonnes récoltes, fécondatrices de la terre, leur protection assurait la fertilité dans ce domaine là également.
Déesse Mère de la Fertilité.
De nos jours, ces mythes ont disparu depuis des siècles dans nos sociétés. Subsiste la « MÈRE » toute puissante avec ce que cela comporte de possessivité, la mère nourricière, celle qui boude lorsqu’un plat préparé avec amour n’est pas apprécié. C’est l’âme du foyer. Nourrir c’est aimer.
Toutes les cultures, civilisations eurent leurs déesses mères.
La femme au service des dieux et des hommes, la femme a un pouvoir que l’homme ne put, ne peux lui disputer : celui d’enfanter.
Sans elle pas de vie, en cela elle fut, est la « référence »
Aujourd’hui  elle dispose de son corps, merci la science !

A l’opposé de cette féminité protectrice et maternelle, il y eut :
Lilith
Les déesses aux visages ambivalents, détentrices du bien et du mal.
Principe également lunaire, (le féminin est "lunaire") ces déesses de mort ou de vie, bienveillantes et fécondantes, se métamorphosaient en ange de désolation. Présidant aux cultes des disparus, des monstres de la nuit, au service du vice pour certaines, déesses des enfers, des lieux sombres.
Elles sont votre part d’ombre, votre inconscient, la femme fatale sommeillant en chacune de vous.

Femmes Références, femmes multiples aux 
nombreuses casquettes.
Caroline Aigle, pilote de chasse !
Au XXème siècle, la femme devient plus solaire, se masculinise, parfois trop, par obligation aussi. Elle est validée comme un individu à part entière. Il était temps que son statut change.
Société un peu folle oblige, la femme plus que jamais se donne le droit « D’ETRE », par désir d'exprimer ses besoins.
Elle se cherche parfois, dans le couple, les rôles ne sont plus définis, les médias nous bombardent d’informations semant le trouble, source d’incertitude plus que de réconfort. Résister à la pression sociale nécessite un "Moi" solide !

Émotion, femme lunaire et solaire
La Femme-Référence a de multiples facettes.
Ne rêvons pas, le monde actuel exige beaucoup de nous, nous en exigeons encore plus de nous-mêmes. Et là, prudence pour ne pas sombrer dans des schémas n'étant pas "Vous" ! Donc clairvoyance et lucidité s'imposent.
Descendons-nous de Eve la tentatrice, 
 des déesses mères protectrices ou des déesses régissant le monde des ténèbres ? Un peu de toutes à la fois avec une dominance de l’une  ou l'autre plus marquée ?
Un être humain se construit ainsi : comme une pelure d’oignon, nous sommes multiples !
Une identité  découle de divers facteurs : l'hérédité, la génétique, l'environnement, la culture, l'éducation parentale, le rapport aux autres pairs, le lieu géographique de  vie !

Quelques profils de Femmes-Références.
Précision : transcrire des profils, oblige à forcer le trait d’une manière caricaturale. Nuancez donc les personnalités décrites.
 Vous êtes l’une de ces femmes , un peu d’une autre.
La liste de profils ci-dessous n’est pas exhaustive, loin de là.

 Vous, quelle femme êtes vous ?

Working girl : style femme carriériste des années 80
Femme hyper bookée !
Surbookée, pressée, à l’apparence impeccable ou totalement négligée, ceci dépendant de votre activité. 
L'ingénieure en informatique  n'est pas soumise aux mêmes nécessités qu'une avocate internationale ou qu'une  directrice de banque etc...
Votre ambition sans limite vous motive, réussite professionnelle, pouvoir sont vos maîtres. Prêtes pour une promotion  à l’autre bout du monde ? Rien ne vous arrêtera dans votre ascension. L’amour ? Pas le temps d’y penser, ou sous certaines conditions. Les enfants ? Pas question, le rôle maman/bobo ne vous sied pas. Votre désir de maternité viendra plus tard, votre position sociale  acquise  !

La Psy. Si le désir de réussir une vie professionnelle est légitime, il ne garanti  pas toujours l'accomplissement recherché, l’épanouissement ne sera pas  nécessairement au rendez-vous.
 Avez-vous été élevé avec cette notion « vitale » que pour être bien, "il faut" RÉUSSIR ? L’image d’une mère trop soumise et dépendante fut elle déterminante dans votre choix de vie ?
En couple, si vous partagez les mêmes ambitions, le couple survivra. Si le monsieur vibre d’amour sans rentrer dans la course, il souffrira de vos absences et/ou vous lassera. A moins qu’il ne choisisse le rôle d’homme de maison, disponible pour les enfants, vous  y trouverez un équilibre de vie
Célibataire, votre priorité n'étant pas le couple, ces périodes de célibat sont vécues sans problème. Les aventures fugaces ou l'homme en pointillé comblent (vos besoins.

Info : plus une femme  grimpe haut dans l’échelle sociale plus elle accepte des relations difficiles ou elle se soumet ! 

Fashion addict : ou femme miroir

Top Mode
Sans la dernière petite robe à la mode, vous n’osez plus vous montrer, capable de flamber un mois de salaire pour une paire de chaussures. Votre crédo du samedi : acheter, trouver "la petite chose originale qui épatera vos copines, votre amant, votre mari". Certaines femmes sont « addict » en compensation à un manque, pour d’autres c’est un jeu social auquel il faut se prêter, certaines activités obligent à ce « jeu ». La conscience de ceci évite la perdition de son « Moi »

La Psy. Le culte de l’apparence dénote un besoin de reconnaissance, d’afficher une appartenance à un clan, une société, d’être conforme à ce que l’on attend de vous. Cultivez l’estime de soi,  permet de se détacher de ce « trop » qui à force peut devenir une source de stress, si la frustration s'en mêle ...
Sans ou avec ?
En couple, il vibre sur la même longueur d’onde, tout est parfait. Il ne supporte pas toujours votre  viscéral e "fashion attitude «, le couple grince un peu, beaucoup…Il s’en moque, rien ne va plus, il en rit gentiment acceptant votre addiction à la mode...A vous d'écrire la suite !
Célibataire, vous frôler la catastrophe financière en permanence. Attention à ne pas confondre le fond et la forme, si le premier regard sur l’autre détermine une rencontre, l’attirance met en scène tout un jeu complexe de sentiments, d’émotions, d’hormones, l’apparence importe mais n’est pas tout pour garder l’autre !

Femme Chaumière : ou la mère poule

Donner, aimer, nourrir !
Celle pour qui le bien être de sa famille importe plus que tout. Hyper protectrice avec vos proches, inquiète souvent pour eux. Vous vous oubliez pour les autres. Le rôle de mère au foyer vous va comme un gant. Parfaite cuisinière, parfaite femme d’intérieur. Vous êtes au petit soin pour votre compagnon, votre descendance. Aimer passe chez vous parle don de nourriture, votre bonheur : le foyer !

Sexy et Maman Poule !
La Psy. Vous êtes-vous construite en réaction à une éducation trop stricte, carencée en affection, à une mère autoritaire ? Avez-vous reproduit un schéma parental ? Le foyer symbolise la protection, auriez-vous peur du monde extérieur, de la vie ?
En couple, comment pourriez-vous vivre autrement qu’avec un époux, des enfants puisque votre santé mentale repose sur le foyer. Seule vous n'êtes pas réellement "entière".
Célibataire, vous recherchez l’homme qui sera le père de vos enfants, vous restez très proche de vos parents, ou des amis(es), vous attirez les hommes en recherche de la femme " rassurante " "sécurisante " ? 

Femme sirène :  ou la séductrice.

Plaire, attirer le regard, capter l’attention, rien ne doit vous résister, homme, femme, chien, canari, charmer est votre nature profonde. L’indifférence vous déstabilise. La jalousie de votre compagnon vous étonne ! Pourquoi ? Un énorme besoin de reconnaissance, un doute sur vous, pour le plaisir du jeu ?

La Psy. Trop d’amour reçu ou pas assez, pas de limites éducatives, enfant roi ? De nombreux facteurs construisent un individu. Cherchez-vous dans le regard des autres l’amour inconditionnel d’une mère, d’un père ? Votre « assurance » dépend du jugement réel ou non de vos contemporains ? Soyez prudente dans vos choix amoureux. Le risque :  basculer dans un rôle de femme objet, d'être considérée par l'autre comme telle.
En couple, votre partenaire vous aime à la folie, n’est pas jaloux, s’amuse de votre besoin de séduction, à moins que vous ne le lassiez de vos récurrentes questions : suis-je bien, cette jupe me va-t-elle ???
Célibataire , soit vous charmez pour le fun sans aller plus loin , soit vous ne savez pas dire stop au désir de l’autre. L’hyper séduction rend prudent certains hommes. Ici comme ailleurs, la force du "Moi" fait la différence.

Femme camarade : ou la bonne copine.

Celle à qui les autres confient leurs petits et grands malheurs. Vous vous positionnez d’entrée comme la confidente, même auprès de l’homme vous attirant, étonnée qu’il ne vous regarde que « comme sa bonne copine » avec laquelle on rit, chahute, mais  qu'il ne drague pas.  Au travail, vos collègues se déchargent sur vous des tâches les ennuyant..

Un autre regard
La Psy. Le « non » est banni de votre vocabulaire, comme l’affirmation de vos désirs et besoins. Le danger d'un tel comportement est de développer au fil du temps de la frustration. Fille élevée au milieu des garçons ou ayant peur de l’amour, ne s’aimant pas assez ? Quelles sont les raisons de ce rôle " bonne copine ? " Refouleriez-vous votre féminité pour vous  protéger de … ??? 
En couple, votre compagnon mène le bal, vous le maternez peut être un peu trop, cela vous "fatigue" parfois. Plus qu'une autre vous pouvez, selon l'identité de votre compagnon, créer une parfaite entente, dans le couple !
Célibataire, votre « copinage » fait fuir les hommes, enfin certains, on ne s’attache pas à une confidente... Certaines ados optent pour ce profil "bonne copine" par crainte de ne pas plaire...par maladresse  ou refus de  quitter le monde de l'enfance ! Avec les années, la majorité  de ces jeunes femmes affirmera sa féminité.

Femme Porcelaine : ou femme enfant
 Un peu gamine ayant toujours son « nounours » de l’enfance, en recherche de protection, légèrement insouciante, inconsciente. Vous aimez l’homme protecteur vous prenant en charge, acceptant vos caprices, vos sautes d’humeur. Cet aspect femme enfant peut dénoter soit un refus de responsabilités ou n’est qu’un jeu dissimulant une redoutable femme de tête ? Qu’en pensez-vous ?

Femme enfant
La Psy. Une femme enfant n’est jamais seule, la solitude insupportable à son confort intime. L’homme est indispensable, question de survie pour cette personnalité en quête de sécurité affective toujours et/ou matérielle parfois. Le partenaire choisi est solide, pygmalion, père, amant. La femme porcelaine voit en l’homme le « Protecteur» avant tout.
En couple, une telle relation peut se pérenniser car complémentaire, les besoins et manques de l’un sont compensés par l’autre. La relation perdura tant que l’un des deux ne se réveille pas, ne se lasse pas de sa place dans le couple.
Célibataire, phase de vie complexe, un énorme sentiment de vide habite l’être. 

Femme Excellence : la perfectionniste.

Femme en recherche d'équilibre
Celle qui gère tout le monde, cherchant la perfection comme mère, femme, amante, épouse, au travail. Vous êtes sur tous les fronts, dans l’urgence souvent, énervée parfois, sereine rarement.
Vous empilez les identités comme des pulls en plein hiver. Le risque ? Craquer, vous perdre dans cette quête de « tout faire parfaitement »

La Psy. Êtes vous perfectionniste et dominante par crainte de perdre le contrôle, d’être débordée si vous ne gérez pas votre monde ? Ce contrôle permanent de tout est un indicateur de stress important. Continuité d’une éducation trop stricte, refus de la soumission, un manque d’autonomie etc… ?
Le stress de la perfectionniste
En couple, votre compagnon soit se complet dans cette espèce de domination féminine, il se repose sur vous, soit évite les tensions avec le danger d’exploser un jour, ainsi que votre relation.…
Célibataire, votre désir d’emprise sur la vie,  peut éloigner certains hommes, ou vous conduire vers un garçon soumis, évitant...Tout est possible. L'harmonie d'un  couple relève parfois de l'acrobatie, les opposés s'attirent pour se compléter...
 ou femme femme

Votre registre et mode d’expression : compréhension, diplomatie. Vous canalisez vos émotions à merveille, jamais prise au dépourvu. Vous avez la capacité, essentielle au bien être : "laisser le monde tourner sans vous quelques heures." Vos faiblesses admises, l’acception de vos imperfections vous positionne dans la relation à l’autre, comme la femme -femme, ayant confiance en elle, acceptant la critique comme les compliments.

 La psy. L’éducation respecta la personnalité de l’enfant, l’aidant à développer ces capacités, à connaître ses limites, autonomie et, sociabilité, estime de soi jalonnèrent l’enfance pour construire une personnalité équilibrée.
 La également, comme pour les autres personnalités, l'inné, le tempérament sont les facteurs différentiels de l'identité.

Femme indépendante.
En couple, respect de l’autre, communication, capacité à exposer ses idées, prendre des décisions seule. Si l’homme partage les mêmes valeurs et agit à l’unisson, le couple sera harmonieux.
Célibataire, vous êtes sélective, les machos, grincheux, "autoritaristes" ne s'approchent pas de  vous. "Plutôt seule que mal accompagnée "est votre devise. A relativiser selon d'autres critères ! 

Un coup de cœur pour les mamans célibataires, elles jonglent sans cesse pour assurer à leur(s) enfant(s) une vie décente. Pour celles sans liens familiaux, l’isolement est un fardeau aggravant des conditions de vie déjà difficile. Une mère ne peut remplacer l’absence d’un père, certaines de ces mères s’en sortent pourtant magistralement, entres doutes et peurs de mal faire, elles font de ces enfants sans père, des adultes accomplis.

Vous « existez « à travers différents profils.
Tissez un fil entres les personnalités  esquissées ici afin d'y découvrir celle vous ressemblant. A nuancer bien sur. La réalité se dévoile toujours plus complexe, les mêmes causes dessinent des attitudes différentes !

Racontez ici quelle femme -référence  vous caractérise . 
Comment vibrez-vous au quotidien, quelles sont vos motivations ?
 Vous fonctionnez au super, au gas-oil, au parfum, au jus de carottes…?



Femme Référence dans tous les pays du monde, la femme sera toujours porteuse d'espoir et de vie quelque soit sa culture, sa religion et son statut. 
N'oublions jamais que des femmes sont asservies au nom de certaines traditions, déniées dans leur droit "D'Etre" !
Orient


Inde


Femme de tous les continents


Afrique
Occident
Asie




Un problème, besoin de conseils je vous attends sur :
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mardi

Dispute, quand le conflit sauve le couple ! Découverte


Quand le conflit sauve le couple. Découverte.


Aimer pour le pire et le meilleur !





























On en parle beaucoup sur tous les tons, 
selon la situation, 
on aime, on aime !
On n'aime plus, chamaillerie, bouderie...
Et puis, parfois, l'autre agace, énerve, devient insupportable !

Pourquoi ?
Vivre à deux demande de faire des compromis et si l'un si refuse, la relation devient
bancale créant une frustration.
Un énervement personnel n'ayant rien à voir avec l'autre.
Il faut bien décharger son stress quelque part...
ah, est-ce vraiment la seule alternative ?

Une vie à deux c'est :
Joie, tristesse, euphorie, détresse, espoir et désespoir...
Vraiment l'amour se décline en une palette émotionnelle intense, dense en fonction de notre personnalité.

" Amour et déchirures"
Oui, il arrive parfois que les conflits provoque des déchirures,
 qui ponctuellement ne feront guère de dégâts,  qui récurrents laisseront des traces.

Comment éviter les conflits lorsque l'on aime,
vit avec l'autre, comment par instant ne pas s'opposer,
sans créer des tensions parfois lourdes de conséquences ?

Cela me  me semble inévitable !
Quand les personnalités, caractères, divergent que des étincelles n'apparaissent face à certaines situations.

Car, je le répète encore une fois, Aimer c'est être 2,
 chiffre symbole de dualité, de tiraillement.

Vivre, aimer sans jamais ressentir cette difficulté à exprimer sa personnalité parait complexe,
 il y a toujours
une situation demandant de s'adapter à ce que désire l'autre,
 voulu ou pas, il  faut bien accepter que le plaisir, désir de l'un, ne cadre pas avec les valeurs de l'autre, comprendre que son besoin, à un moment donné, ne cadre pas avec les codes habituels du couple.

 L'être humain n'est pas linéaire...
Si certain (e) reste d'une humeur constante,
la majorité  d'entres-nous a une tendance à vibrer sur un mode en dent de scie...
Aujourd'hui de bonne humeur, demain le poil chagrin rejaillissant sur autrui !


Aimer, relève parfois du paradoxe,
 nous oublions que l'autre est un individu à part entière
dont le comportement peut nous heurter,
 blesser encore plus si nous ne l'acceptons pas tel qu'il est.

Jusqu'où peut on aller dans le compromis avec soi-même sans y laisser
des "bouts" d'estime de soi ?
 Tout dépend de la situation cause de la tension...
et, là nous rentrons dans l'individuel,
 le "Moi"
et son seuil de tolérance, 
 sa souplesse,  son taux d'abnégation.
Facteurs variables !
La réaction soumise à la force de l'estime de soi-même,
 sera donc
le reflet de notre confiance en nous-même
 et
de notre capacité à comprendre, assimiler et accepter.

Mais un conflit n'est pas signe, loin de là, d'une mésentente définitive ni d'une rupture.

Mieux vaut dire qu'utiliser le silence qui à la longue risque d'exploser en un feu d'artifices de mots plus détestables les uns que les autres.

Rien de pire que le non-dit, l'évitement.

Oui, la dispute sauve le couple de l'enlisement dans la rancoeur.


Comment se comporter ?
Par le sourire, la dérision,
le silence en laissant glisser sur soi les propos de l'autre,
si les causes sont minimes.

Par le "non",
je n'admets pas cette attitude humiliante pour moi.
J'existe,
 j'ai le droit d'exprimer mon opinion sur le sujet, ce que je ressens.

Rentrer dans le conflit ne fera, parfois, que l'envenimer.
Si "aimer" doit conduire à la compréhension de ce qu'est l'autre,
qu'il (elle) ne peut donner que ce qu'il (elle) a,
il ne s'agit pas de tout accepter par peur de perdre l'autre.

Apprendre à doser.

Info : Attention à la manipulation !
Nous le sommes toutes et tous un peu, le jeu de la "petite" manipulation
consiste à amener l'autre vers son désir de faire ce qu'il, elle ne désire pas sur l'instant.
Quel couple y échappe ?
  Prudence car en surdosage elle conduit l'un des deux, celui qui se tait et accepte, à une perte d'estime de soi, rancoeur.
L' emprise de l'autre, auquel on ne donne pas de limites, peut s'avérer sur la durée une énorme source de frustration risquant de se transformer en bombe à retardement.


Certains mots blessants,
 certaines actions réactivent d'anciennes blessures, écornent l'image que l'on a de soi-même.
Apprenez à faire la part des choses, lucidement, prenez du recul avec les propos de l'autre, du contexte dans lequel les choses sont exprimées...
mais n'hésitez jamais, lorsque la situation relève de l'irrespect,
à affirmer votre désaccord

Si le conflit permet de faire une mise au point,
 donc de rebondir vers une relation plus souple en modifiant quelques codes inconscients, 
il est bénéfique pour la relation.

Pensons que la routine, si elle rassure peut s'avérer fatale.

Vivre à 2u
 ressemble parfois à un parcours
semé d'embuches, de défis, d'adaptation.
En discerner le positif, permet de "grandir",
de mieux se comprendre,
 de tirer des leçons de vie tout simplement.

La tension, le conflit sont des signes d'affirmation, de respect et d'amour.
Une dispute ravive la relation... la recentre sur l'essentiel, le vivre à deux en harmonie
N'en n'abusez pas...

La récurrence des disputes peut fêler le couple !
Pourquoi ?
 Trop d'accrochages, de reproches finissent par générer de la méfiance, une façon d'être en permanence sur le qui-vive, à l'affut des propos de l'autre, la fêlure devient fracture.

Moralité :
le conflit permet de maintenir une relation vivante, en éveil, le sentiment amoureux vivifié par quelques mises au point positives

Si vous vivez avec un dépendant affectif je vous recommande cet article :
18 conseils pour résister à un dépendant

Les articles sur le couple en suivant le lien


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vendredi

Amour et couple : comment jongler entre compromis, frustration et estime de soi ?

Amour et couple :comment jongler entre compromis, frustration 
et estime de de soi ?

Aimer, relève parfois du paradoxe,
 nous oublions que l'autre est un individu à part entière, 
dont le comportement peut nous heurter,
 blesser encore plus si nous ne l'acceptons pas tel qu'il est car la rumination s'installe pouvant virer à l'obsession.




Ceci nous concerne également, nous sommes aussi "l'autre" pour l'autre !


La danse du couple et l'art du compromis.
Jusqu'où peut-on aller dans le compromis avec soi-même sans y laisser
des "bouts" d'estime de soi ?

Là nous rentrons dans l'individuel,
 le "Moi"
et son seuil de tolérance,  sa souplesse et sa capacité à l'abnégation.
Facteurs variables selon le caractère de chacun et chacune !
La réaction soumise à la force de l'estime de soi,
 sera donc
le reflet de notre affirmation, de l'image que nous avons de nous même, de ce que nous sommes.


Comment se comporter quand le partenaire, homme ou femme décide ce que nous ne voulons pas, quand il, elle réagit brusquement à un mot, quand l'autre s'oppose à notre choix ?
Ou quand il ou elle projette sa mauvaise humeur à la maison ? 


Certains individus se déchargent ainsi de leur journée faite de compromis, de colère ou agressivité rentrées ! Attitude à revisiter.
Et vous le faites peut être inconsciemment ?


Comment se comporter  face à ces débordements ?
Par le sourire, la dérision,la colère
le silence en laissant glisser sur soi les propos de l'autre ?


Tout dépend de nos états d'âme du moment, du contexte etc...
Oui,
si les causes, raisons, situations sont minimes.
Par le "non",
je n'admets pas cette attitude humiliante pour moi.
J'existe, j'ai le droit d'exprimer mon opinion sur le sujet, ce que je ressens, je ne suis pas la "poubelle" dans laquelle tu peux jeter une rage dont je ne suis pas responsable. 
Si "aimer" doit conduire à la compréhension de ce qu'est l'autre,
qu'il (elle) ne peut donner que ce qu'il (elle) a,
il ne s'agit pas de tout accepter.


Quand la soumission devient un "état" d'évitement de conflit, l'intériorisation se traduit par de la somatisation.
Pour celui-ci par des crampes d'estomac ou des palpitations ou pour celle-là des poussées d'eczéma etc..etc...


Bonjour le stress !
Perte d'estime de soi, rancoeur, et emprise de l'autre, auquel on ne donne pas de limites,
accompagnent ce style de comportement, plus proche de la compromission,
que du compromis.


Dans un couple des codes inconscients régissent la relation, ils s'ancrent dès le début dans l'inconscient tout doucement, sûrement et inexorablement ils vont "codifier le rôle de chacun.


Pour éviter avec le temps les dérapages provoqués par le non-dit,
la fuite du conflit en acceptant des choses non conformes à nos valeurs, mieux vaut réagir vite.


Tout ou tard, l'un ou l'autre sature, étouffe,  car tout être humain a besoin d'attention, le couple se fissure parfois irrémédiablement, explose, la rupture s'avère la seule alternative.


Celui ou celle qui accepte tout dès le début d'une relation, fausse les données, les codes sont pipés puisqu'il s'agit d'une mascarade, d'un semblant d'acceptation.


Certains mots blessants, certaines actions, réactivent d'anciennes blessures,
 écornent l'image que l'on a de soi-même, selon votre histoire personnelle, soyez vigilant(e) à ne pas vous perdre un peu plus.


Apprenez à faire la part des choses, lucidement, prenez du recul,
mais n'hésitez jamais, lorsque la situation relève de l'irrespect,
à affirmer votre désaccord.
Une fois oui, deux fois non, car à force de se taire s'installe comme un malaise.
Si l'un ne peut retenir son penchant à utiliser le, la partenaire comme un exutoire à ses propres problèmes, l'autre subit et en perd au fil du temps l'estime de lui, elle même.


Vivre à 2,
 ressemble parfois à un parcours
semé d'embuches, de défis, d'adaptation.
En discerner le positif, permet de "grandir",
de mieux se comprendre, de tirer des leçons de vie tout simplement.


Pour conclure, dès le début d'une relation affirmez-vous si le comportement de l'autre ne cadre pas totalement avec vos valeurs.
N'oubliez pas que ce sont les petites contrariétés du quotidien, les compromissions qui assassinent les sentiments...

Cultiver l'art de la souplesse mentale, ne rime pas avec oublie et respect de soi.
L'art de la communication, du dialogue désamorce beaucoup de tension à l'inverse de l'évitement.

Et si l'autre se mure dans le silence ?
En cas de dispute, laissez le ou la dans son silence.
Insister ne fera qu'envenimer le problème.


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18 conseils pour résister à un dépendant affectif.


Vous aimez un(e) dépendant(e) affectif(ve) mais ses doutes vous étouffent ?Comment sauver le couple ? 
Article à lire à 2 !

La dépendance affective, un poison lent pour une relation !



Information : les conseils sont d'ordre généraux et ne peuvent se substituer à la consultation avec un professionnel
******** Je conseille au dépendant affectif de lire cet article qui  fournira des indications sur les modifications de comportement.
Cet article concerne le couple...
 Bonne lecture et surtout mettez en application.

Vous aimez tout, ou presque chez lui ou elle, ses petits travers vous amusent, 
vraiment vous l'adorez !

 MAIS,
 sa dépendance amoureuse commence à être lourde.
Vous vous sentez impuissant(e) à remplir les vides, les manques de l'autre !
Le/la quitter n'est pas l'ordre du jour. 
Alors que pouvez-vous mettre en place pour pérenniser cette relation sur un autre mode ?

Tout se complique quand vous rencontrez un(e) partenaire vivant dans cet état permanent de manque.
 Je parle ici, de l'amour  "étouffant, captateur, vampirisant"

Vous donnez, montrez des preuves de vos sentiments..
toujours en dessous de ce qu'attend le ou la partenaire.
Épuisant !

Vous l'aimez, mais cette relation devient un enfer dans lequel à force de compromis avec vous-même pour ne pas blesser cette femme ou cet homme vous en arrivez à douter de votre existence et de la relation.

Si votre partenaire peut se remettre en question en prenant conscience de sa souffrance et de la votre, le couple sera sauvé.

Pourquoi ce ou cette partenaire est-il (elle) si sensible à votre regard ?

Rapide explication :
  Dans le sentiment amoureux, le (la) dépendant(e) recherche la fusion permanente, avec l'autre, il (elle) bouillonnera de l'intérieur, vos émotions colorent les siennes.
 Son "Moi" se liquéfiant au rythme des attentions que vous aurez ou pas !
Il, elle vibre au moindre signe de "désamour", interprète tout à l'envers, dominé(e) par la frustration.
Elle, il oscille entre joie et tristesse selon vos actions et réactions etc...etc...

 Cet amour là transforme votre vie un enfer d'insatisfactions.
Rien ne va, ne suffit jamais à satisfaire l'autre.
Comment réagir, lui faire comprendre votre sincérité ? Et le peut-on ?

OUI, si l'autre accepte le changement !

Ces amoureux (ses) là se rencontrent, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie parfois !
  Et comme l'exprime ce personnage..."c'est pas juste"
  Mais comment vivre avec ces personnalités là...
Entre les demandes récurrentes d'attention, la suspicion au moindre propos, vous frôlez la crise de nerf !
Et, oui, il y a des individus ainsi fichus, mal fichus, bigrement "étouffants" qui ne savent aimer que sur le mode souffrance et doute...


Important :
Pour résister à un dépendant affectif comprenez que c'est en le, la mettant face à sa peur que vous l'aiderez à se guérir.

18 conseils pour ne pas sombrer, soutenir l'autre et sauver votre relation !


  1. Ne pas rassurer sans cesse, après tout l'autre est adulte, ce n'est pas à vous de porter à bout de bras sa peur
  2. Rien ne le (la) sécurisera vraiment, à part lui, elle même
  3. Ne pas culpabiliser, vous n'êtes pas parfait (e)
  4. Ne pas succomber à son côté "victime"  larmoyante et/ou boudeuse !
  5. Vous avez le droit de dire "NON" tu m'en demandes trop !
  6. Prenez du temps pour vous, rien que pour vous, sachez vous rendre indisponible.
  7. Sachez ou apprenez à poser des limites aux désirs et demandes de "preuves" du style : "tu m'aimes, t'es sûr(e)"
  8. "T'es fâché(e) contre moi, tu m'en veux"...etc...etc...ne tomber pas dans le panneau 

    9. Particularité
    *Vous l'aimez comme un père, une mère ? Ce rôle là vous plait ? Assumez !
     *La dépendance de l'autre vous nourrie, vous donne de l'importance ? 
    *Vous êtes aussi névrosé (e) que ce partenaire, c'est parfait et complémentaire.  
    *Vous pouvez vivre très heureux ainsi 
     Non, je ne plaisante pas. Le manque de l'un comble le manque de l'autre, vous trouvez un équilibre

        10.Si, les 2 rôles ci-dessus vous déplaisent,  vous désirez une relation "adulte" 
    11. Modifiez  les codes de la relation en refusant cette manipulation affective dans laquelle vous enferme l'autre
    12.Faites lui comprendre: "aimez oui" "jouer le sauveur, non"
    13. Aimer, c'est aussi prendre en compte les besoins, désirs de l'autre, les vôtre par exemple, il, elle doit comprendre cela.
    14. Autre cas de figure, il ou elle fait "Tout pour vous faire plaisir" ..manipulation assez inconsciente, difficile de vous opposer aux demandes sans culpabiliser. Résistez !
     15 . Dites haut et fort "  STOP, je t'aime, je t'adore, mais tu me POMPES" !Le combat, le défi, vous serez 2 à le relever.
     Vous pour ne pas faillir 
    Partir ou céder sera souvent votre dilemme.
    L'autre qui "couine", pleure ou hurle, manipule, passant de l'amoureux(se) éploré(e) à "pourquoi me fais-tu ça" pour ne pas se modifier, soutenez-le ou la.
    Bon courage .


     Besoin d'un suivi, d'un soutien,
    Une psy en ligne Téléphone ou Skype
    http://www.attitude-coach.com/p/me-contacter.html
    ou
    Conseil par mail : Question/réponse



    Vous habitez dans le Golfe de St Tropez, je reçois à mon cabinet sur rendez-vous.

    https://www.psychotherapie-laurence-rigody.com


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    9 conseils pour se libérer de la dépendance affective.
    La dépendance affective c'est quoi et pourquoi
    Vivre sans l'autre, quand la dépendance tue l'amour
    Blessure d'enfance, violence verbale ou physique
    La dépendance "déguisée" amour et manipulation

    Lire également les articles sur l'angoisse, le stress...
    Si vous avez quelques difficultés à vous affirmer face
    à la dépendance du partenaire
    cet article vous aidera 

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