lundi

Blessures d'enfance : est-il possible d'en guérir et d'aimer ?

Est-il possible de guérir des blessures d'enfance et d'aimer ?


Toute personne ayant traversée une enfance semée d'embuches traine un lourd passé.
Ceci étant exprimé, qu'elles sont les conséquences psychologiques de ce passé emprunt de tristesse ?
Toujours entre deux voyages


Ma réponse sera sibylline, tout dépend des causes et de la personnalité de l'enfant, qui peut, malgré un parcours complexe à une période de l'enfance, s'en sortir au mieux.

Dans cet article, je n'aborderai pas la violence faite à enfant déjà traitée et que vous découvrez en suivant le lien.

Aujourd'hui parlons de la disparition d'un parent.
Voici un récit véridique, cette fillette nous l'appellerons Domi

Une enfance insouciante, des parents aimant et une fillette adorée par son père, aux yeux de celui-ci elle est une princesse et princesse elle est !

Tour en moto avec papa, vacances avec papa et maman, mais le découvreur, le guide c'est bien lui, ce père toujours joyeux, voyageur pour ne pas dire nomade....

Fuit-il une femme, qu'il adore, parfois trop jalouse et possessive ?
 Peut-être, il part souvent.
Ces questions, elle ne se les posera que des années plus tard.

Cette enfance, entre une mère exigeante et cultivée, issue de la bourgeoisie, très axée sur elle-même et ce père bon vivant toujours entouré de copains se déroule dans la gaité.

Elle est précoce, marche à 9 mois, curieuse de tout, une vraie machine à questions : pourquoi le ciel est bleu, pourquoi les noirs le sont et pas nous, à quoi sert la télévision et où sont les gens ? dans la boite etc.
Papa adore maman et elle en joue, quitte à rendre sa fille responsable de tout et de rien :" chéri, ta fille m'a répondu d'un drôle de ton, tu devrais la punir !"
 Papa devient le censeur, le punisseur, mais gentil il fait semblant de...

L'enfant évolue dans cette ambiance plutôt sympathique et conviviale.
Les parents reçoivent, la porte est ouverte...

Elle a son lieu secret, le grenier où dorment des malles anciennes pleines de poussière, le lieu des confidences au chat, des chagrins enfouis, des incompréhensions face à l'injustice de sa mère.

Parfois, elle a la sensation que maman lui en veut de quelque chose, qu'elle la dérange.

Mais à 7 ans ces pensées sont éphémères, pas analysées, elle retourne vite à ses jeux et á la danse.
Elle adore le jardin, suivre les colonnes de fourmis, peinturlurer les chaises.

Déjà avec sa mère il y a des affrontements, des "NON" je ne ferai pas ceci, elle tient tête avec pour réaction maternelle : "Quel sale caractère tu as ma fille" " Vraiment infernale comme gamine"...

Toutes ces paroles s'envolent tel un nuage porté par le vent, enfin en apparence.

 Souvenirs.
Vacances au bord de la mer, une maison, des balades et un âne dont elle s'éprend à mourir, au point de vouloir le ramener à Paris...l'amour des animaux se dessine déjà et il ne la quittera plus.
Un déchirement que de quitter l'âne, elle n'aime pas les séparations, adore les animaux.

Un premier bilan sur la construction identitaire de Domi.
A priori Domi est une enfant équilibrée, élevée dans un environnement social stable, elle sait déjà s'affirmer, le rapport au père y contribue.
 Il ne lui présente pas le monde comme dangereux, bien au contraire, il lui apprend à le découvrir sans le craindre.
Le rapport à la mère plus ambiguë complique son identification à celle-ci qui donne une image de la femme hyper féminine, trop dans la rivalité et centrée sur elle-même créant une sensation à la fillette d'être parfois "gênante", de "ne pas faire comme il faut"
Souvenez-vous des propos de la mère cités plus hauts, elle lui dit souvent :
"Vraiment tu es gourde ma pauvre fille"
L'image du couple parental est forte, ils sont unis et papa cède souvent à sa femme.

Domi à de bons rapports avec les enfants, avec les adultes elle est parfois réservée.
Bonne élève, elle apprend vite.

Maman inculque une éducation faite de "on ne parle pas à table, on ne parle pas la bouche pleine, on se tient droite, on ne coupe pas la parole etc.."

Contraignant peut-être pour l'enfant mais qui plus tard lui permettront d'être à l'aise partout.
Une éducation classique en somme.


Retour à Paris, papa est fatigué, lui le colosse auquel rien ne résiste perd de sa bonne humeur.
Il se traine.
Tout devient flou dans la mémoire, des fils se cassent dans son esprit, elle ne comprends pas.

On l' éloigne de la maison sans rien expliquer. Elle s'inquiète.
A l'époque, sous prétexte de protéger un enfant, la loi du silence domine...résultat, un ressenti sans mot, du vide que rien ne comble, un sentiment de subir l'incompréhensible...et toujours pas de mots face à la souffrance de la mère, la dégradation du  père redevenu un enfant dépendant.
On cherche à la rassurer avec des inepties.
Elle sait que quelque chose de grave se prépare.

La maison, elle dans la chambre, sa mère la croit chez une amie, le médecin arrive,  elle entend
" votre mari est condamné, la tumeur atteint le cerveau, le cancer se généralise, au maximum deux mois"

Elle a 8 ans et demi, sais, comprend ce que cela signifie "il va mourir" la laisser, l'abandonner.

Elle hurle en se précipitant chez la voisine.

 Un immense chaos, des situations s'embrouillent pour se confondre en une seule, unique douloureuse sensation : il n'est plus là !
Elle n'y croit pas, n'y croira jamais.
Elle se réfugie dans le grenier, pleure, attend, espère, attend encore, ne parle plus et attend encore qu'il revienne.

Du flou, la mémoire en faillite, le néant...de cette période il ne reste rien qu'un dédoublement d'elle même, là mais ailleurs dans les méandres de l'effondrement.

Un traumatisme. 

Maman souffre aussi, les gens sont gentils mais si lourds et maladroits qu'elle les évite.
Maman cherche comment la distraire, elles partent en vacances, les mois défilent dans un brouillard d'où émerge, parfois, des rires, l'enfance est là, si l'insouciance n'est plus subsiste l'instinct de survie et Domi en possède une sacrée dose.
Maman aime rire,  l'humour et elles rigolent bien toutes les deux.


S'effilochent les années, Domi danse beaucoup, passionnée par ce dépassement de soi-même.

Stoppés les souvenirs, elle ne se souvient de rien, la vie bloquée au décès de son père.
Elle ne s'ancre dans rien.
Elle attend.

13 ans. 
Toujours la danse comme exutoire, elle balade sa carcasse habitée par ce manque.
Maman va se remarier avec un plus vieux qu'elle, comme mon père plus âgé.
Elle a droit au bonheur.
Les dés sont jetés et Domi avec : 
"Je pars vivre chez lui, mais toi, il ne veut pas que tu viennes, tu restes avec grand-mère" 
Ah, grand-mère méchante, aigrie, qui me tire les cheveux en douce !
"Maman, tu ne peux pas me faire çà, elle est si mauvaise, plaintive, sinistre"
"Chérie je serais juste à côté, tu passes quand tu le veux"

Désolation, maman part chez lui "et moi et moi tu m'abandonnes "dans la détresse.


Pré ado, ado, les murs franchis, les punitions, mère absente, Domi dérange, sale période, elle se débrouille seule...Maman est généreuse, matériellement, mais si avare d'elle même, la grand-mère n'a aucune autorité sur elle.

"Pas le temps de passer ma chérie et ton beau-père ne veut pas te voir chez lui !!!

Des copains, copines pour famille, brillante élève qui ne fiche rien, douée en tout, l'écriture en particuliers et la danse encore mais ne s'ancrant dans rien en particuliers.

Juste une envie viscérale : vivre, exister.


Un autre bilan
Dérive ? Non, Domi garde la tête froide et connait ses limites, les limites à ne pas franchir, au bord du gouffre, elle réagit
L'éducation stable joue son rôle, mais elle est en souffrance, désabusée et paradoxalement voit sa mère comme une victime qu'il ne faut pas brusquer.
Pourquoi ? Maman endosse facilement ce rôle en fonction de ses besoins, un enfant ne sait pas encore discerner la manipulation.

14 ans, la maturité d'une adulte, elle dévore les livres, pour s'évader, comprendre.

Elle grandit vite...trop
16 ans, maman lui loue un studio à Paris....vive la liberté.

Vite, très vite, des garçons, elle plait beaucoup mais aime-t'elle vraiment ?
Pour elle rien ne dure, aimer c'est prendre le risque de perdre l'autre, l'abandon, alors autant vivre en fonction de l'instant...et voir !

Les années défilent.

Connaitre l'inconnu, comprendre, l'intensité, la passion, loin de préférence, ailleurs toujours ailleurs pour l'excitation, la découverte, puis se lasser et recommencer.

Soif de vivre avec en toile de fond cette notion ; "rien ne dure" la vie peut s'arrêter demain, la sienne, celle de l'autre.

Faisons le point sur cette histoire.
Premières années de vie, Domi acquiert de solides bases, elle reçoit de l'amour, même si la mère, névrosée, souffle parfois le chaud et le froid.
Les valeurs inculquées : la tolérance, la compréhension, l'ouverture aux autres et aux choses de la vie resteront et tisseront chez elle le respect de soi-même et de l'autre.
Cette mère, intellectuellement lui apprend à penser par elle même, aspect très important pour ne se laisser duper.

Les points noirs, le décès du père, déjà vécu comme un abandon par l'enfant et l'abandon de la mère pour un autre homme peu de temps après vont renforcer chez Domi cette idée que "rien ne dure" créant une fuite en avant.

Bilan.
La réponse au titre de ce message est "NON" nous ne guérissons jamais totalement il restera des blessures, des cicatrices devenues presque indolores mais qui se réveilleront en fonction d'une situation précise.

Oui, il est possible d'aimer et ici tout dépend de la personnalité.
 

Pour elle, ne jamais se retourner sur le passé, d'ailleurs ce passé est occulté, avancer toujours en vivant l'instant.
Demain ? Nous verrons.

Occulté comme un déni de mémoire pour ne pas souffrir et parce que le passé ne se change pas et qu'il faut l'accepter. 

Nous ne pouvons pas parler de déni, elle est très consciente des conséquences de ce vécu.

"Construire" ; une notion que Domi ne connait pas réellement et pourquoi "construire", avoir des projets à long terme que la vie peut basculer d'un claquement de doigt, anéantissant tout.

Elle est très vite responsabilisée

Le trait de caractère dominant de Domi : l'ouverture aux autres tout en sachant s'écouter elle-même, elle sait donner et recevoir.

C'est une" résiliente", elle rebondit toujours, traverse les épreuves en les affrontant, elle s'accepte

Son tempérament joyeux, extraverti l'aide à boire le verre à moitié plein plus qu'à moitié vide dans les périodes difficiles.

Ses fragilités : l'amour .
Un père idéalisé, ce héros si tôt disparu laisse une empreinte forte, de part l'amour inconditionnel qu'il lui donna, elle développa un narcissisme assez fort avec ce besoin d'être aimée pour elle-même.
Mais paradoxalement, cette peur que tout cesse la fera vite changer de cap, si l'autre ne répond plus à l'image qu'elle a de l'homme et de l'amour.
La notion de famille est relativement abstraite.

Chaque individu se construit en fonction de dizaines de paramètres, Domi optera pour une vie exaltante, parsemée de découvertes, de voyages et de liberté en divers domaines. Professionnellement elle ira vers une activité indépendante...

Une ou une autre traversant les mêmes épreuves au même âge cherchera vite à créer sa famille, mariage, enfant, stabilité.
Pour d'autres encore, la marginalité deviendra un mode de vie si les bases des premières années de vie furent trop fragiles, sans oublier la biologie de chacun, l'hérédité.

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Bonne Année !


Tous mes vœux
pour 
ce nouveau cru 
2019

Amour
Santé
Argent
Paix & Sérénité

Que cette année apporte à chacun de vous
le meilleur.

Une bonne Année sous le soleil
depuis le Golfe de Saint-Tropez

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jeudi

Cher Père Noël dessines moi un sourire !





Père Noel dessine moi un sourire !

Sourire et humour. (dessin de Elvine)


Voici le vœu d'un enfant, qui lui, trouve la vie plutôt sympathique.

Nous y sommes presque ;
 NOEL déjà présent dans toutes les têtes apporte un joli moment d'oubli, enfin se doit être ainsi.
Pourtant la période semble morose, empreinte de grogne et de mauvaise humeur.


Les gens en oublient de sourire.

Aide nous cher Père Noël à leur redonner ce sourire si agréable qui scintille, pétille et embelli l'existence.


Cet enfant et bien d'autres proposent un "remède", du moins le souhaite de tout leur coeur, tant les plaintes des adultes l'agacent.

A force d' entendre "que rien ne va", de le ruminer, ils finissent par en faire une réalité !


Alors Père Noël dessine nous un sourire,
 bien visible dans ta hotte, que mes parent le voit
et l'inscrive sur leur visage.

Qu'ils ne transforment plus la vie en une série de catastrophes.
A force de râler, ils finissent par croire que leur vie est un enfer !

Que la joie de vivre illumine les instants, éclaire leurs regards,
que l'humour s'invite à table, car ils ne savent plus s'amuser.

Parce qu'à force de "pleurer" ils s'énervent après nous pour un rien.
Ce n'est pas juste.
Parce que à force de se plaindre, ils ne s'aiment plus et moi j'ai envie qu'ils soient heureux.

Je t'en prie,
dessine des éclats de rire, des chansons
et dépose les bien en vue devant le sapin,
que les fêtes terminées, ils continuent à aimer la vie, à lui sourire, même si des problèmes surgissent, sourire aide à les traverser et à trouver des solutions.

Voilà Père Noël, ce que je désire dans la hotte, en plus de mes cadeaux.

Que ce Noël 2018 soit, aussi, celui des "grands".
La vie me semble triste sans le sourire.

Mes copains, copines et moi comptons sur toi pour que la famille se rassemble, et pour longtemps, dans la joie et la bonne humeur.

Père Noël dessine nous le plus beau des sourires du monde.
Un sourire à la vie, à soi-même !

Un merveilleux Noël à tout le monde !




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lundi

Pourquoi la différence dérange ?

Les différences qui dérangent.
 Pourquoi ?

Un exemple de la différence qui dérange : Ghandi


Qu'est la différence ? 
L'autre est différent, l'enfant très jeune l'apprend à travers sa différence, par exemple, du petit garçon envers sa soeur, l'on appelle cela "l'altérité"

Cette différence là semble facile à reconnaître et s'intègre à l'individu assez facilement.

Pourquoi fait-elle si peur ?
Mais, il est des différence faisant naître la peur, dérangeante et source, parfois de haine.
 Quand l'intolérance apparaît elle provoque l'agressivité, refoulée ou pas, avec des conséquences parfois dramatiques.
  La projection intervient dans ce rapport à la différence.
  
 Qui sont ces "autres" source de questionnement ?

  • les homosexuels
Je suis étonnée qu'à notre époque l'homosexualité soit considérée comme une perversion, une anomalie de la nature et qu'à ce titre certain ou certaine devienne l'objet d'humiliation, de vengeance au pire.
Nous savons que celle- ci est biologique, génétique et qu'un être humain vibre, quel que soit sa couleur, sa religion reste soumis aux mêmes émotions.
Nous sommes tous égaux à ce niveau là. La souffrance n'a pas de frontière, ni d'idéologie politique ou religieuse.

Pourquoi la peur ?
En tout être humain il y a une part d'agressivité, utile à la survie, enfin qui fut nécessaire à la survie de l'espèce. 
Aujourd'hui, elle n'a plus de moyen d'expression réelle en occident.
La question à se poser : est-ce réellement l'homosexualité qui dérange ou n'est t'elle qu'un prétexte pour faire exploser cette agressivité personnelle ?
L'effet miroir : l'attirance pour ce que l'on méprise de soi-même

  • les étrangers 
Celui qui vient d'ailleurs est trop rapidement "jugé" sur des critères trop personnels avec des certitudes que non définitivement, ce personnage au faciès différent ne peut qu'apporter le désordre.
C'est parfois vrai, mais cela l'est aussi pour des Français pur jus.

Pourquoi la peur ?
La méconnaissance des cultures autres que la sienne, prêter à l'autre des intentions qui ne sont souvent que les nôtres (on appelle cela une projection)
Au lieu de s'intéresser à l'autre, n'oublions pas que l'on apprend toujours quelque chose de la différence, la facilité sera de la rejeter.
L'inconnu au sens large inquiète toujours.
Cultivez la curiosité pour comprendre que l'étranger, qui n'est pas un ennemi, peut vous apprendre comme lui  doit le faire avec vous, beaucoup de chose.
  • les handicapés, les malades
Voici un cas typique de projection.
Le regard se détourne, mal à l'aise car ce peut-être nous demain, ou un enfant naissant avec un handicap.
La société occidentale prône l'éternelle jeunesse, la forme à tout prix, alors cette confrontation avec un autre aspect de la vie, nous terrorise.
Nous pratiquons l'évitement.
Et croyez moi, les personnes handicapées souffrent de ce regard biaisé que nous portons sur eux, de même que leur entourage.
Ils n'ont qu'un désir : être, vivre comme tout le monde.

A un niveau moindre
  • l'autre qui ne réagit pas comme nous, le partenaire parfois.
De cette différence là, des tensions, des rapports de force naissent, une totale incompréhension de la pensée de l'autre qui n'est pas comme "Moi"
L'altérité : comprendre que l'autre est différent de moi, qu'il a le droit de penser différemment, d'aborder une situation, de la vivre à sa façon en réagissant ou agissant autrement.
La plupart des conflits viennent de cette catégorisation des individus en double de "MOI"
"Je suis ainsi, donc tu dois me comprendre et être comme je le veux"
Moralité : sachez écouter et prendre en compte ce que dit l'autre, sortez du besoin d'avoir raison à tout prix 

L'intolérance conduit vite à l'autoritarisme et parfois à la violence.

  • L'appartenance,  la non-appartenance
Je  m'appuie sur l'actualité (les gilets jaunes qu'ils faut reliés à d'autres mouvements du passé) pour cette partie de l'article sur la différence qui fait peur.

L'instinct grégaire pousse à se réunir dans un même mouvement, donc à appartenir, à faire corps avec les autres.

Qui oserait aujourd'hui dire : je ne soutiens pas les gilets jaunes, je ne suis pas d'accord ?

Vous le pensez peut-être ou du moins adhérer à une partie mais êtes en désaccord avec d'autres aspects.

Vous en avez parfaitement le droit.
Pour l'exprimer haut et fort encore faut-il se dégager du groupe, accepter le jugement et parfois la haine ainsi que la mise à l'écart.

Cette différence d'opinion peut conduire à tous les excès ceux ne la comprenant pas
Une bonne estime de soi-même aidera à s'affirmer ce qui implique une capacité à réfléchir par soi-même.

A l'identique pour un adolescent sollicité pour fumer des joints, il lui faut une sacrée force de caractère donc de confiance en lui pour réfuter l'appartenance au groupe.

L'indifférence dérange en divers domaines car elle renvoie toujours à soi-même,
à la solidité de son MOI,
 à sa capacité de résistance pour ne pas faire partie de la meute.

Une bonne connaissance de soi-même et une acceptation de ce que nous sommes sont les principaux ingrédients de l'affirmation, ceux qui permettent d'accepter la différence pour la transformer  en 
une richesse, une complémentarité et non une opposition.

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mercredi

Saint-Tropez et les voiles

Saint-Tropez et les voiles.

Ils sont là !
Saint-Tropez revêt sa tenue de fin de saison à tendance sportive avec les Voiles de Saint-Tropez.

Magnifiques voiliers internationaux, aux couleurs du monde...
Évènement cosmopolite où la cité se décline en version polyglotte.

A voir pour le plaisir des yeux.
A suivre, de préférence en bateau.
Les photos ci-dessous :
La première lors du trajet Ste-Maxime/Saint-Tropez en immersion totale.
Un pur moment de bonheur, puisque le vent est de la partie.
La deuxième prise par un ami.

Profitez de ces quelques jours pour pratiquer l'Attitude contemplative de l'instant.