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jeudi

Qu'est la liberté ? dans le quotidien, le rapport à l'autre, vivre libre ou être libre


La liberté est-elle inscrite dans notre ADN ?
Liberté, être libre, vivre libre,
de quoi parle t-on vraiment !



"Quand on se suffit à soi-même, on arrive à posséder le bien inestimable qu'est la liberté"
(Epicure)

Concept, ici, philosophique de la liberté qui rejoint la notion de responsabilité.

La liberté  c'est, aussi, le pouvoir de choisir, d'aller où nous le désirons et une absence totale de contraintes et d'entraves aux désirs... cette dernière forme de "liberté" ne cadre pas avec le concept *d'Epicure, elle décline une forme de soumission et donc de dépendance.

L'être humain, bien que souvent, régit par le principe de plaisir est un animal sociable ayant besoin de vivre avec l'autre, sauf de posséder une âme d'ermite.😉

Plaisir, il semble qu'un certain égoïsme le qualifie, lorsqu'il n'a pas de frontières, et c'est peut-être la problématique majeure de certains(es)humains réagissant comme des enfants gâtés, pour lesquels ce principe de plaisir incite à cheminer  que pour "eux -mêmes" cloîtrés dans un "moi je" tendant vers l'asservissement de l'autre qui est "objet".,.et la soumission à leurs désirs.

Liberté et plaisir dans ce cas s'opposent.

La liberté de penser, cela s'apprend, semble donc la seule sincère "liberté", elle est "nous" à travers le conscient et l'inconscient, nul individu ne peut la capter, spolier, elle se cache, se tait face au despotisme.

La liberté de choisir, dans le quotidien oui, elle peut devenir une forme d'aliénation pour ceux "bloqués" à l'idée de se tromper...oui, elle est là

La liberté d'expression, une belle liberté que nul n'a le droit de bafouer, d'interdire, nous sommes les seuls détenteurs de sa démonstration, selon nos croyances, valeurs et le respects de l'autre.

La liberté implique une cohérence intérieure avec soi-même, de se connaitre avec ses contradictions, ses ombres, autrement dit il s'agit de s'accepter et de cultiver la compréhension de l'univers, de la société avec ses complexités, ses variantes.

Une bonne estime de soi-même, une maturité émotionnelle garantissent cette capacité à "ETRE LIBRE"
sans jugement excessif, à s'affirmer si besoin est

"Etre libre" psychologiquement est autre que la "liberté" tout court qui implique d'accepter et de se poser des limites et de se responsabiliser.
Vivre en toute liberté  se gagne peut-être ?

Comment "être un individu libre" 
en évoluant avec des prismes trop névrotiques, des peurs diverses dont celle de la différence conduisant à l'intolérance, 
au sectarisme à l'autoritarisme, à la haine et la violence ?

Comment devenir un "humain libre" lorsque l'enfance s'inscrit sous formatage et endoctrinement, quand la haine de l'autre pimente les discours, quand la personnalité fragile rend influençable, quand le manque de repères sociaux, affectifs provoquent un mal-être profond, quand l'identification à des pairs, des référents défaillent, quand le rôle, la place dans la société sont impossibles à établir,
 que se passe t-il, comment un individu devenu ado, adulte évoluera t'il ?

Vous trouverez les réponses dans les comportements excessifs de certains et certaines, la palette comportementale est vaste.


Nous vivons dans un pays libre avec des droits indiscutables, les femmes y ont acquis les mêmes que les hommes (ce qui est assez récent), la liberté d'expression, de penser et d'être, de croire, de bouger, à minima actuellement, semble si évidente que nous en oublions le sens. Il suffit de jeter un oeil sur certains états pour en comprendre les atouts : "NE PAS VIVRE DANS LA PEUR ET LA SURVEILLANCE"



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mardi

"J'ai peur de l'échec" Comment dépasser ses appréhensions

"J'ai peur de ne pas y arriver !"
"C'est trop compliqué pour moi, vais-je y parvenir ?"

Bonjour à tous les lecteurs de ce blog !
L'objectif : atteindre le sommet. L'important ; le chemin à faire pour y parvenir.


Abordons aujourd'hui ce que chacun de vous ressent, parfois, face à certaines situations, l'appréhension de ne pas réussir.


Comment vaincre ses appréhensions ?
La thérapie comportementale & cognitive ou TCC fournit quelques solutions !

Est-ce grave de penser ainsi ?
Non.
Un doute permet de rester lucide et c'est positif, ne pas dramatiser cette émotion en une certitude d'échec.
Voici déjà un premier point à travailler.

Deux options s'offrent alors à vous :
1) Essayer de faire ce qui vous paraît difficile 
2) Renoncer par peur de l'échec.

Pourquoi cette peur de l'échec devient inhibant ?

Pour tenter quelque chose d'inhabituel, accepter une promotion, il est préférable de se dégager de certains schémas :
La performance
La Perfection
ces deux schémas cachent un manque de confiance en soi, se réactivent lorsque l'éducation,
l'environnement ont mis l'accent sur :

  • l'obligation de réussite en tout,
  • la nécessité d'être toujours le premier, 
  • le pointage de la seule et unique mauvaise note scolaire,
  • quand un frère, une soeur trop brillant réussit sans effort,
  • par comparaison personnelle faite par les parents,
  • quand l'enfant lui-même se lance le défi d'égaler, voir dépasser l'autre,
  • ou lorsqu'il cherche la reconnaissance des parents.


Quel comportement apporte une plus grande estime en soi et permet d'oser sans trop de stress ?
C'est l'approche détendue qui sera la plus bénéfique car elle donne un sentiment de confiance en restant
conscient de vos capacités et de vos limites.
La confiance c'est aussi l'acceptation de ne pas y arriver "parfaitement" du premier coup.
L'estime en soi-même est d'accepter le doute sans qu'il devienne inhibant dans l'action.

Si vous êtes anxieux(se) , très stressé(e) par anticipation, une partie de vos moyens s'évaporent  ainsi que votre concentration.

La perfection est une illusion car trop subjective avec le risque de se comparer, désavantageusement, à celui ou celle qui, par exemple, pratique un sport depuis longtemps. 
Si vous rejouez un vieux schéma d'enfance, prenez en conscience en vous recentrant sur l'instant, ce que vous faîtes maintenant. 

L'insatisfaction récurrente de ses actes signe le désir de perfection jamais atteint.
Faire au mieux en étant conscient du résultat obtenu avec une juste appréciation, ne pas hésiter à demander un avis ce que souvent le schéma de Performance Interdit.

Comprendre que l'échec n'est pas de ne pas y arriver du premier coup mais de renoncer.

Le défi est de faire mieux à chaque fois en acceptant que certains sont plus doués que d'autres dans des domaines spécifiques.
Mettre la barre trop haut en fonction de vos capacités peut conduire à l'échec.

Apprenez à réduire le stress, toujours négatif, pour oser plus facilement.
Acceptez de stresser parfois, intériorisez vous, vos ressentis, vos idées, acceptez les sans jugement et laissez les glisser en passant lentement à autre chose.
La relaxation, la respiration sont des outils de détente à utiliser sans modération

Solutions.

  • Posez réellement la situation.
  • Réfléchissez à cette notion d'échec.
  • Vous faites, par exemple, cette activité en l'abordant comme un loisir devant rimer avec plaisir ou comme une compétition ?
  • Quel objectif visez-vous ?
  • Qui vous critique aujourd'hui ?
  • Pourquoi ces idées/certitudes ?
  • Quels sont les risques concrets ?
  • Ces risques sont-ils réels ou mentaux, fruits de vieux schémas ?
  • Êtes-vous certains à 100% de vos idées négatives ?
  • Si la réponses est NON, il n'y a pas de danger.


Deux exemples.
Les loisirs.
Soyez neutre au lieu de saper le positif par des phrases assassines.
L'auto-flagellation interdit le dépassement de soi-même.
 Posez la situation objectivement.
* Pourquoi faites vous ceci ? Par plaisir ou pour vous punir de ...
* Est-il censé de réussir sans un minimum d'effort ?
* Pensez que parvenir à l'excellence demande de l'entrainement.
* Que tirerez-vous de cette expérience nouvelle ?
* Quelle avantage pour vous de tenter telle ou telle situation (sport, voyage, rencontre etc.)?

Une promotion professionnelle
 Soit vous sauter de joie, cette promotion attendue confirme que vous travail est reconnu.
 Soit vous stressez, ruminez obsédez par cette peur de ne pas être à la hauteur etc...

Pourquoi avez-vous accepté cette promo si elle provoque autant de peur ?
Voyez les avantages et non que les inconvénients et encore une fois, acceptez d'avoir une appréhension ce qui est légitime.

Méfiez vous du "MAIS" qui grisaille le positif et met en état d'angoisse.

Être conscient d'une difficulté est une chose, l'envisager comme une montagne impossible à escalader décourage avant même de tenter, en est une autre.

Voyez non l'ensemble de la tâche à accomplir (la montagne) abordez là progressivement (les marches), par étape et chronologiquement

Lancez-vous un petit défi en vous exposant, vous le réussissez alors félicitez-vous !

Le sentiment d'échec arrive si:
 vous mettez la barre trop haut,
 soit vous voulez atteindre la perfection, la performance sans réellement mesurer le sens, le pourquoi de de ce que vous faites...et que la notion de plaisir est absent.


Pensez à ce que vous avez réussi, bien qu'envisagé comme impossible.
Réfléchissez, prenez le temps.
Que désirez-vous vraiment ? Avancer ou entretenir cette mésestime de vous-même ?
Booster l'estime de soi implique de se lancer des défis atteignables.

Pour une semaine sous le signe du bien être 
commencez à OSER et à faire
 tant en action, que psychologiquement ce que vous appréhendez
 pour comprendre que 
OUI vous en êtes capable sans stresser à outrance et que vous éprouverez du plaisir.


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***Cet article est informatif et ne peut en aucun cas se substituer à une consultation avec un professionnel !





lundi

Pourquoi la différence dérange ?


Les différences qui dérangent.
 Pourquoi ?
Un exemple de la différence qui dérange : Ghandi


Qu'est la différence ? 
L'autre est différent, l'enfant très jeune l'apprend à travers sa différence, par exemple, du petit garçon envers sa soeur, l'on appelle cela "l'altérité"

Cette différence là semble facile à reconnaître et s'intègre à l'individu assez facilement.

Pourquoi fait-elle si peur ?
Mais, il est des différence faisant naître la peur, dérangeante et source, parfois de haine.
 Quand l'intolérance apparaît elle provoque l'agressivité, refoulée ou pas, avec des conséquences parfois dramatiques.
  La projection intervient dans ce rapport à la différence.
  
 Qui sont ces "autres" source de questionnement ?

  • les homosexuels
Je suis étonnée qu'à notre époque l'homosexualité soit considérée comme une perversion, une anomalie de la nature et qu'à ce titre certain ou certaine devienne l'objet d'humiliation, de vengeance au pire.
Nous savons que celle- ci est biologique, génétique et qu'un être humain vibre, quel que soit sa couleur, sa religion reste soumis aux mêmes émotions.
Nous sommes tous égaux à ce niveau là. La souffrance n'a pas de frontière, ni d'idéologie politique ou religieuse.

Pourquoi la peur ?
En tout être humain il y a une part d'agressivité, utile à la survie, enfin qui fut nécessaire à la survie de l'espèce. 
Aujourd'hui, elle n'a plus de moyen d'expression réelle en occident.
La question à se poser : est-ce réellement l'homosexualité qui dérange ou n'est t'elle qu'un prétexte pour faire exploser cette agressivité personnelle ?
L'effet miroir : l'attirance pour ce que l'on méprise de soi-même

  • les étrangers 
Celui qui vient d'ailleurs est trop rapidement "jugé" sur des critères trop personnels avec des certitudes que non définitivement, ce personnage au faciès différent ne peut qu'apporter le désordre.
C'est parfois vrai, mais cela l'est aussi pour des Français pur jus.

Pourquoi la peur ?
La méconnaissance des cultures autres que la sienne, prêter à l'autre des intentions qui ne sont souvent que les nôtres (on appelle cela une projection)
Au lieu de s'intéresser à l'autre, n'oublions pas que l'on apprend toujours quelque chose de la différence, la facilité sera de la rejeter.
L'inconnu au sens large inquiète toujours.
Cultivez la curiosité pour comprendre que l'étranger, qui n'est pas un ennemi, peut vous apprendre comme lui  doit le faire avec vous, beaucoup de chose.
  • les handicapés, les malades
Voici un cas typique de projection.
Le regard se détourne, mal à l'aise car ce peut-être nous demain, ou un enfant naissant avec un handicap.
La société occidentale prône l'éternelle jeunesse, la forme à tout prix, alors cette confrontation avec un autre aspect de la vie, nous terrorise.
Nous pratiquons l'évitement.
Et croyez moi, les personnes handicapées souffrent de ce regard biaisé que nous portons sur eux, de même que leur entourage.
Ils n'ont qu'un désir : être, vivre comme tout le monde.

A un niveau moindre
  • l'autre qui ne réagit pas comme nous, le partenaire parfois.
De cette différence là, des tensions, des rapports de force naissent, une totale incompréhension de la pensée de l'autre qui n'est pas comme "Moi"
L'altérité : comprendre que l'autre est différent de moi, qu'il a le droit de penser différemment, d'aborder une situation, de la vivre à sa façon en réagissant ou agissant autrement.
La plupart des conflits viennent de cette catégorisation des individus en double de "MOI"
"Je suis ainsi, donc tu dois me comprendre et être comme je le veux"
Moralité : sachez écouter et prendre en compte ce que dit l'autre, sortez du besoin d'avoir raison à tout prix 

L'intolérance conduit vite à l'autoritarisme et parfois à la violence.

  • L'appartenance,  la non-appartenance
Je  m'appuie sur l'actualité (les gilets jaunes qu'ils faut reliés à d'autres mouvements du passé) pour cette partie de l'article sur la différence qui fait peur.
L'instinct grégaire pousse à se réunir dans un même mouvement, donc à appartenir, à faire corps avec les autres.

Qui oserait aujourd'hui dire : je ne soutiens pas les gilets jaunes, je ne suis pas d'accord ?

Vous le pensez peut-être ou du moins adhérer à une partie mais êtes en désaccord avec d'autres aspects.
Vous en avez parfaitement le droit.
Pour l'exprimer haut et fort encore faut-il se dégager du groupe, accepter le jugement et parfois la haine ainsi que la mise à l'écart.
Cette différence d'opinion peut conduire à tous les excès ceux ne la comprenant pas
Une bonne estime de soi-même aidera à s'affirmer ce qui implique une capacité à réfléchir par soi-même.

A l'identique pour un adolescent sollicité pour fumer des joints, il lui faut une sacrée force de caractère donc de confiance en lui pour réfuter l'appartenance au groupe.

L'indifférence dérange en divers domaines car elle renvoie toujours à soi-même,
à la solidité de son MOI,
 à sa capacité de résistance pour ne pas faire partie de la meute.

Une bonne connaissance de soi-même et une acceptation de ce que nous sommes sont les principaux ingrédients de l'affirmation, ceux qui permettent d'accepter la différence pour la transformer  en 
une richesse, une complémentarité et non une opposition.

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samedi

6 conseils pour oser dire "NON"

Dire non, exprimer une demande ?
C est si facile pour certains, un vrai défi pour d'autres !
6 conseils ou étapes pour y parvenir et oser dire "NON"

Dire non, demander un défi libérateur

Entre en scène le cortège des émotions perturbantes et si stressantes...
Les anxieux connaissent bien ces scénarios dramatiques.

Frustration, frustration, colère intériorisée, colère projetée sur l'autre, rumination, manque d'estime de soi

Comment "Oser" sans se liquéfier dans l'angoisse dire "je ne suis pas d'accord, je n'ai pas le temps...etc...etc...?"

Et pourquoi n'osez-vous pas exprimer ce qui vous dérange ?

Réponses non exhaustives :
- peur de déplaire
- peur de la sanction !
- peur de vous mettre en avant
- peur de ne pas, plus être aimé(e) etc...
- demander s'apparente à de la faiblesse
- peur du conflit

La suite de cet article ouvre quelques pistes vers la désinhibition et le "OUI", j'ose m'exprimer sans crainte !
Je prends le risque de déplaire....
Sachez que le danger de perdre...est plus imaginaire que reflet de la réalité.
Celui ou celle n'acceptant pas le non manque de souplesse, est trop susceptible.
Et vous fonctionnez peut- être  ainsi.


Etape 1)

Attitude "Décision"
Aujourd'hui je "DÉCIDE"
"dire non"
"prendre une décision" et si tenir.

Pourquoi "Décider" ?
Pour sortir de conditionnement de comportements devenus des automatismes, ceci vaut pour aborder toute "modification" ou "atténuation" de comportement.
Atténuer "les peurs de" progressivement booste la confiance en soi-même
Soyez lucide, toute divergence d opinion ne dégénère ni en combat, ni en rupture.


Etape 2)
 Je m'occupe de mon moral.
Attitue " Protection"
Fuyez, tant que faire se peut, les individus négatifs, plus soucieux d'eux-mêmes que de vous.
Alors ce bon copain ou cette amie chère, osez lui dire que vous aimeriez un autre sujet de discussion que ses problèmes, en y mettant des gants et de l'humour, osez ne pas voir cette personne si elle renforce votre manque d'estime... OSEZ le NON !
Utilisez votre droit de veto à l'abus d'autorité.

Etape 3)
J'opte pour l'action.
Attitude "Agir. Et se donner le droit

Celui ou celle qui n'acceptera pas votre affirmation peut-il (elle) de qualifier d'ami(e) ?Que vaut cette relation ?

Dites "NON", sans laisser la culpabilité vous envahir.
Materner à outrance, « paterner »  "accepter l'inacceptable" au delà du raisonnable, maintient l'autre
dans sa prison mentale et renforce le tyran dans ses complexes de domination.
Et si le rapport s'écrit sur le mode dominant, tyrannique, dire "Non" n'aura jamais de conséquences si dramatiques que celles envisagées dans votre pire scénario.
Exemple :
C'est votre supérieur, votre patron, votre partenaire de vie ?
Combien d'années endurerez-vous le mépris,combien de nuits blanches à ruminer sur ce que vous auriez dû exprimer sans peur de..., cet emploi ou cette relation valent elles autant de souffrance ? Ou, ce "non" qui vous hante, se bloque dans votre gorge, après tout une fois dit vous libérera et vous donnera confiance en vous.

Décider pour votre équilibre mental, pour doper l'estime en soi et surtout comprendre qu'en vous donnant le droit du "non" et celui de " demander" vous ne vous mettez pas en danger.
Plus vous vous taisez, plus la situation devient un cercle infernal, d'où nul ne sortira indemne. Surtout pas vous !


Etape 4
Je laisse l'autre s'occuper de moi ! 
Attitude "Confiance" et demande

 Nous avons tous le droit et le devoir, de laisser le monde tourner sans nous quelques minutes ou heures, pour repartir au top 
Alors demandez du temps, de l'attention, une augmentation, vous en avez le droit.

Etape 5)
J'apprends à "avoir du recul".
 Attitude Réflexion et clarté
Acceptez votre émotion peur à l idée de demander.
Réfléchissez à ce que vous désirez, votre besoin et lancez vous en canalisant votre émotion


Pour faire une demande, formuler la clairement, en acceptant les points de vue l'autre, insister en persistant sur le non.

Etape 6 )
Donner, trouver un sens à ce que vous faites. 
Attitude"'Objectivité"
Commencez par des situations simples du quotidien.
Appréciez chaque défi relevé, osé quel qu'en soit le résultat.
Mémorisez bien chaque réussite pour "casser" vos vieux schémas et dépasser les peurs.





Vous êtes dans le Golfe de St Tropez, je reçois  à Gassin la Foux et Grimaud Village
www.psychotherapie-laurence-rigody.fr

 consultation par téléphone/Skype 
Les informations ici :
http://www.attitude-coach.com/p/me-contacter.html

mercredi

Comment réussir des vacances en famille ? Les erreurs à ne pas faire.

Les valises sont prêtes, un dernier coup d oeil pour vérifier que tout est en place.
Les enfants parés  pour le trajet.
L'heure du départ approche pour des vacances espérées depuis un long moment.
Celles-ci, cette année s'annonce peu ordinaires.
Coucher de soleil, vue mer...paradisiaque !
Point de rassemblement de toute la famille : la maison louée dans le sud.
Tout ce monde part avec un objectif :
Réussir les vacances en évitant les erreurs pour que ces retrouvailles marquent les esprits des petits et des grands.

Enthousiasme, euphorie rien qu'en pensant à ce séjour pas comme les autres.
Cette années les vacances sont l occasion de réunir les membres épars de la grande famille : les frères et soeurs plus les partenaires, plus les enfants, plus oncles et tantes...bref une vingtaine de personnes sous le même toit dont certaines quasiment pas vues depuis quelques années

Céline est l initiatrice et organisatrice du rassemblement.
Tout le monde lui fait confiance pour organiser un séjour inoubliable, du choix de la maison en passant par l'intendance elle fera tout merveilleusement bien !


Grâce à elle les vacances en famille seront une réussite.
Céline c'est madame perfection, attentive au moindre détail !

"Nous sommes une grande famille et on ne se voit jamais, pourquoi ne pas se retrouver pour les vacances ? louons une belle maison et profitons "

Idée lancée, attrapée et mise en action
Mails, coup de fils, des "super"s et des"on sait pas"
Bilan une vingtaine de preneurs.

La maison ? Céline se charge de trouver la perle rare, envoi de photos...maison cautionnée par tout le monde. Céline ne peut faire le mauvais choix.

Patty, Charlie, les deux enfants entament le bitume avec une bonne humeur communicative. Interrogation légitime : qui sera avec qui ? Quelle tête à tonton Yves après tant d'années ?
Certitude : grandes tablées, rigolades et repos programmés.
Espoirs : une maison conforme aux photos et des retrouvailles au top


Arrivée dans le sud 

tient pas si grande que sur les photos cette maison !

Surprise : tonton Yves à changé de femme et nous ne le savions pas, remarque comme il vit en Australie et nous ne l avons pas vu depuis 10 ans...
Et Jacky, la soeur arrive avec son nouveau copain et ses deux enfants.
Combien serons-nous dans cette maison ? 22 ou 23 !
Combien de chambres ? 7
Un peu juste pour loger tout le monde.
Mais non, les enfants (de 3 à 16 ans) se partageront deux chambres et les salons.
Ah ! 6 couples, deux célibataires et 8 enfants et 3 salles de bain.

L ambiance se ternie brusquement, surgissent quelques questions de logistique.
Mais tout le monde relativise...vacances = liberté et repos.

Toute la smala est là, trouver un endroit où installer les enfants devient un casse tête.
Bagarre pour décider qui dort avec qui et où
Cahin-caha chacun trouve sa place
Le salon ressemble à un camp scout !
Mais l'humeur reste au beau fixe.

Visite de la maison, jardin et piscine.
Passent quelques heures à discuter, jouer avec les souvenirs d'enfance, de fac etc..

Une voix tente de se faire entendre : "On s'organise comment pour les repas ?"
"Moi, je ne déjeune pas et la cuisine durant les vacances, non merci"
"Et le soir ?"
"On fera des grillades"
Une ado :
"Moi, j'aime pas la viande"
Le tonton d'Australie :
"Je propose le  restaurant"
"Super tonton, tu invites tout le monde ?"
"Faut pas en demander trop"
"Avec les petits impossible d'aller au resto "
Céline :
" Eh, la famille l'heure de l'apéro approche, les placards sont vides, qui vient faire les courses avec moi ?"
Pas d'écho !
"ohoh je ne m'y colle pas toute seule, allez les frangines  et frangins on bouge de son transat"
"Faut penser au dîner, qui mange là et que voulez-vous manger ?"
  J'arrête là, la suite se dessine déjà, on chuchote que Céline, sur ce coup là n'assure pas....étant l'instigatrice du projet, la conceptrice elle serait la réalisatrice !
Mauvaise compréhension et communication...Tout le monde à pensé que...sans jamais en parler.

Les conséquences si rien ne bouge : 2 ou 3 se sacrifient, toujours ceux ayant le moins confiance en eux, ceux qui n'osent pas dire "non".
Les autres sous des prétextes vaseux en feront le moins possible !


Est-ce jouable ? 
Non, car la frustration pointe le bout de son nez, l'aigreur risque de gâcher cette jolie idée de réunion.


Pourquoi ce séjour sur lequel repose tant d'espoir risque de virer au cauchemar ? Rien n'est prévu, organisé, en dehors de la location de la maison,

Or pour réussir des vacances en famille, surtout une aussi grande famille, l'intendance semble essentielle !

Il n'est pas trop tard pour établir un programme, à priori chacun y trouvera son compte.

Plan d'attaque & action :
  • Réunir les adultes et ados pour clarifier le rôle de chacun.
  • Qui fera quoi, avec qui ! quel jour etc.
  • Décider de la marche à suivre pour le petit déjeuner, du déjeuner, dîner

Soit chacun pour soi, après tout se sont les vacances et inutile de s'infliger des obligations du moins le matin et pour le déjeuner...
Soit déjeuner plage pour les uns, ou autour de la piscine pour d'autres, ou autour de la table...
Visite du secteur, balade bateau etc...
Laisser s'exprimer la spontanéité, écouter ce que désire les autres, enfin certains.
Eviter de créer des contraintes la détente ne se décline pas à l'identique selon les personnalités

Le soir :
  • S'occuper des petits en premier, penser à trouver une, deux baby sitter.
  • Faire dîner à part les plus grands, une table séparée leur permet de s'amuser.
  • Les ados, ils restent avec les adultes., enfin ceux le voulant bien.


Préparation des repas :
  • Chacun à tour de rôle et plusieurs personnes y participe
  • Ceux préférant parfois le restaurant sont libres de le faire
  • Eviter, tant que faire se peut, les contraintes.


Entretient de la maison :

  • prévoir une personne pour s'en occuper et chacun range ses affaires.


Argent :

  • Un pot commun pour les dépenses courantes


Dans une grande maison, un salon télévision est normalement installé, ceux qui veulent la regarder ne doivent pas déranger les autres.

Etablir dès le début quelques règles évitent les tensions.
Vacances devant rimer avec farniente et détente, fêtes et convivialité sont au programme
Si une personne se sent obligée de faire pour les autres, risque de rancoeur in fine !
Chacun doit se sentir libre tout en respectant le désir des autres.
Se retrouver le soir autour d'une belle table doit se faire dans la bonne humeur et la participation.


Ne pas perdre de vue l'idée de départ : réunir une grande famille, l'occasion de profiter et mieux connaitre des uns et des autres.
Ceci implique la disponibilité, le sourire, de prendre son temps pour apprécier les retrouvailles.

Pensez "Zen Attitude" pour remplir agréablement ce séjour qui se doit d'être sous le signe de la détente, du plaisir et du lâcher-prise.



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jeudi

Conseils pour dépasser la Peur du regard & du jugement de l'autre


"J'ai l'impression que l'on me juge toujours, que les autres me regardent" etc...

Dire ou pas ?
Cette phrase en thérapie, un psychothérapeute l'entend très, trop souvent.

"Que va t'on penser de moi"
"Je ne dis rien, par peur du conflit que l'on me juge et me tourne le dos"
Ces deux là sont aussi récurrentes que la première.



Peut-on exister sans se soucier totalement du regard de l'autre ?
A mon sens non.
Professionnellement une forme de reconnaissance importe, puisqu'elle
participe à la réputation.
En amour, quel(le) homme ou femme, ne s'interroge pas, à un moment
de ce que le, la partenaire pense de lui.
Le désir de séduire rentre bien dans ce cadre.
Socialement, ce sentiment intervient également.

A divers degré, ce besoin en est un parmi d'autres chez tous les humains

Mais,
et il est de taille,
ce désir de plaire, d'être apprécier n'inhibe pas le comportement,
il ne se transforme  pas en peur, 
il ne pose pas d'interdi
et surtout pas ne dérive pas en angoisse.
On ne vit pas qu'en fonction de ce que les autres pensent et encore moins
"nous ne pensons pas que l'autre pense que..."

Vous le comprenez, cette peur du jugement génère beaucoup trop de problèmes et de blocage relationnel.
La peur du conflit, donc de ne pas oser exprimer un désaccord, de ne pas dire NON pousse à la rumination :
"Pourquoi je n'ai pas exprimé mon idée sur le sujet ?"
"Pourquoi, je n'ai pas dit à cette personne qu'elle exagère, 
ou à mon patron que j'aie déjà trop de travail etc.?"


Conseil Psy : faites une liste de vos ruminations et du "pourquoi" vous ne vous exprimez pas...
Notez vos réponses, parions que la peur du conflit ou du rejet est très présente !

Les conséquences
La rumination décentre totalement, devient culpabilisante
et peut dégénérer en conflit à force de retenue il y a explosion !
Pire elle provoque un stress intense, si elle perdure et est récurrente.
Professionnellement elle amène au burn-out.
Amicalement, elle fausse les relations par manque de sincérité
et donne de soi-même une image tronquée ayant pour résultat des déceptions.

Bref rien de positif dans cette peur du jugement, du regard de l'autre.


 en réalité cette appréhension du regard de l'autre relève de l'irrationnel .
Il s'agit d'une projection de l'image de soi-même, de ce que l'on pense de soi-même, d'idées sur soi, prêtées à l'autre !
Exemple :
"Je ne m'aime pas, donc on ne peut pas m'aimer"
"On va me trouver nul(le), car je me trouve nul(le)"
"Si je dis ce que je pense, on va me rejeter"
"dans la rue, tout le monde me regarde, me juge" etc.etc.

Que d'EGO !
Oui, il s'agit bien de cela.
Ce manque de confiance en soi-même auto-centre terriblement
et rend très égoïste tant le mal-être domine !

Les solutions :
Relativiser toutes ces "croyances" irrationnelles.
Regarder autour de soi les personnes sachant dire ce qui ne va pas, sont-elles moins aimées pour autant ?
Minimiser les conséquences imaginées de votre peur à dire.
Ne pas penser à la place de l'autre.
Comment connaitre les pensées de l'autre ?
C'est du subjectif, rien de concret dans cette approche.
S'appuyer sur des expériences passées ou "Oser" ne provoqua pas de conflit.
Renoncer à ne pas être aimer de tout le monde.
Songer au personnes qui ne sont pas appréciées par vous.
Se donner le "droit" d'exprimer un avis, un contraire etc.
Constater ce qui se passe ! 
Comprendre qu'un désaccord ne conduit pas au conflit, ni au rejet.

A lire "Oser le Non" S'affirmer, donne confiance en soi-même.
Commencer doucement cette pratique en utilisant des situations faciles.
Bon courage !

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mardi

Fille/mère quand la relation se teinte du pardon



Fille/mère : quand la relation se teinte de pardon

Haïr ou aimer ? Vivre cachée ou libre ? Un choix adulte s'impose.

Après l'article sur la relation fille/mère qui vire à la haine, cet article aborde la relation fille/mère  sous le signe du 

« pardon »

Que signifie «pardon », « pardonner » et est-ce possible ?

      Le « pardon » doit s‘ interpréter dans le sens de « compréhension » et de « paix"

Précision, il n’y a pas de solution « prêt à porter » en psychologie, rien n’est obligatoire, rien n’est formaté, si ce n’est le poids social, qui contraint de se conformer à des normes.

La décision de pardonner, comprendre, doit être personnelle et rien que personnelle, individuelle en fonction de soi-même et seulement de cela. 

Ce désir de comprendre est une étape première pour entamer un rapprochement. 

Le plus important  dans cette décision est :

de faire la paix avec soi-même, pour enfin prendre sa propre vie en main en cessant de vivre celle de la mère.

Pardonner pour grandir, devenir plus femme, en accord avec soi-même et se libérer en acceptant un passé douloureux.

Rien ne contraint à pardonner.
Une condition : en assumer le choix.

Comprendre le comportement d’une mère quand elle ne fut pas la mère souhaitée, quand elle fut violente, "abandonnante", absente, comment est-ce possible et cela sert à quoi ?

 Car pour « pardonner » il faut comprendre ce qui motiva une mère d’abandonner un enfant, d’être trop rigide, pas démonstrative etc…

Une évidence : un enfant aime ses parents, à besoin de sécurité, d’un cadre rassurant, un enfant pardonne facilement.

Pourquoi « pardonner » ?

Avant de pardonner, il s'agit de comprendre ce qu'est la haine, les problèmes en découlant avec, parfois, des symptômes psychiques, des somatisations et une incapacité à vivre sa propre vie, à se détachant d'une image maternelle envahissante.

L'amour conduit parfois à la haine et dans cette relation fille/mère ce paradoxe se décline ici dans une douloureuse réalité.

  • La haine empoisonne l’existence du haineux, bien plus que de la personne haïe.
  • Une fille haïssant sa mère, ne s’aime pas puisque elle rejette cette part d’elle-même, elle n’apprécie pas d’être femme.
  • En général, il y a dans ce rapport un attachement fort à l'image maternelle, une fixation inhibant le développement personnelle.
  • L'identité reste fragile car trop imprégnée du rejet "surtout pas comme elle" 
  • La haine ouvre la porte de la frustration, de la colère
  •  Le chemin de vie risque d'être épineux pour elle-même et son entourage.
  • La haine conduit toujours, du moins tant qu'elle domine, à une forme d'auto-destruction, à l'auto-flagellation et ancre dans un passé ruminé en récurrence.
  • L'échec accompagne, souvent, la haine qui fait le lit de la haine de soi-même
  • La culpabilité rôde, car paradoxalement il n'est pas dans la nature d'un enfant, la fille  devenue"grande"  de haïr une mère
Comment comprendre ?
En parlant avec la mère, en insistant sur le besoin de savoir ce  qui provoqua son comportement.
      Que vivait la femme à cette époque là ?
      Oui, la femme car une mère reste une femme.
      Quel rôle joua le père ?
      Quelle est l'histoire de la mère, son enfance, éducation etc. ?
Quel fut le poids de la société dans une décision d'abandon ?
Précision sur l'abandon : qui n'est pas le fait de laisser son enfant devant une porte.
Une fratrie séparée en cas de divorce, l'un ou l'une au père, l'autre avec la mère provoque ce même sentiment d'abandon, comme une vie en internat, comme l'absence trop fréquente des parents.
Et bien sûr, il y a l'abandon en institution car la mère, seule en général, ne peut pas pour x raisons élevée un enfant.
Ce sentiment d'abandon s'installe sournoisement car l'enfant ne se sent pas entourée, pas aimée, pas intéressante etc...
       Si elle fut violente, dévalorisante, lui demander pourquoi ?
       Où était le père, quel rôle eut-il ?

Pour les autres profils de mère du précédent article sur la relation fille/mère, il sera plus facile de pardonner.
 Ce que l'ado, la jeune fille détestait chez cette mère, la femme l'intégrera en cessant de rejeter une part d'elle-même.

Mon conseil : essayez de comprendre cette femme, votre mère, faites le maximum pour
cerner des faits. 
Éventuellement se mettre à la place de la mère, par empathie, peut aider à comprendre. 

Faites le pour vous, surtout pour vous
en comprenant le sens du "pardon" qui doit vous libérer de la haine tout, 
de tout le monde 
et 
de vous-même,
 qui "subissait" une éducation, un environnement.

Ce pardon amènera, peut-être, un rapprochement et si tel n'est pas le cas, il doit vous ouvrir les portes du futur,le votre pour, enfin créer un demain dont vous serez la principale interprète.


Le chemin sera, peut-être, long avant de parvenir à cette délivrance.
Se  décoller de cette vieille peau  qu'est la haine demandera des ajustements, suscitera des doutes, mais ce voyage vers vous-même en vaut le coup.
La haine, est, restera une prison mentale sans avenir
!

Aujourd'hui, vous avez le choix d'aimer ou non cette personnalité maternelle.
Vous avez une obligation envers vous-même,
celle de vous "aimer" chaque jour un peu plus et plus encore si vous êtes mère.

Quand le pardon succède à la haine,
la personnalité peut éclore.


Avertissement : cet article est informatif, généraliste et ne peut se substituer à une consultation avec un professionnel

INFORMATION : Bonjour, vos histoires m'intéressent. Pour une émission de témoignage sur France 2, nous sommes à la recherche de femmes étant en conflit avec leurs mères. Si vous souhaitez que nous en discutions ensemble :nina.jacob@reservoir-prod.fr - 01 53 84 31 24 


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