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jeudi

Pâques un jour symbolique pour de multiples religions. Parlons de paix !

Pâques
un jour symbolique pour de multiples religions


La Renaissance, symbole de l'oeuf.

Cette fête pascale, chrétienne,  juive,  protestante et orthodoxe doit aussi nous parler de paix en cette période de guerre ukrainienne, du conflit 
Israelo-Palestinien, des conflits au Soudan, en Éthiopie et bien d'autres états du monde!

Guerre de religion, conflits ethniques
avec en toile de fond un désir de pouvoir en réduisant l'autre á néant.

 Pâques se conjugue toujours façon 
"CHOCOLAT"
Abusez-en pour conjurer une période étrange déclinée par les médias sur un mode sinistre et dramatique.

Cette vision est-elle réaliste ou relève-t-elle d'un marketing telle une photo d'un instantané fugace vite oublié mais qui en récurrence imprime le psychisme ?

Moralité :
prenez du recul et dégustez ce fabuleux chocolat 
caché dans le jardin.


Je vous souhaite de joyeuses Pâques 





mercredi

9 conseils plus 1 pour booster la confiance en lui-même de l'enfant


9 conseils pour booster la confiance en lui-même de l'enfant et un dixième pour les écrans !

Quelques conseils pour aider votre enfant à avoir confiance en lui et a mieux se connaitre.

Photo de Gregory Colbert

Voici la rentrée des classes et son lot de changements qui ne sont pas toujours faciles á vire pour les enfants et les parents.
Un temps d'adaptation s'impose pour tout le monde.
Parents affutez votre patience pour ne pas en faire trop et stresser pour un enfant qui sait mieux que vous ne le pensez se débrouiller.
Lui faire confiance le boostera

              Ces conseils sont valables pour les enfants de 7 à 13 ans, fille et garçon.

Durant ces années là, l'enfant utilise toutes ses capacités intellectuelles.
Il a pris conscience que l'autre est différent de lui, ce que l'on nomme ALTERITE 
Période durant laquelle l'enfant doit développer ses potentialités, sa créativité, sa réflexion et son jugement.
Le rôle des parents consiste à inciter l'enfant à aller vers les autres, se positionner à l'école, á s'affirmer dans son rapport aux autres et avoir son propre jugement

Attention, un enfant en manque de confiance, se dévalorisera facilement, renoncera, n'osera pas, il s'agit de le guider pour booster sa confiance
Conseils aux parents : prudence sur les exigences de réussite à l'école, trop de pression conduit l'enfant dans un schéma de perfection qui risque au fil des ans de se transformer en rejet de l'école.
Trop de laxisme "renforcera" sa réserve, timidité ou son opposition..
Apprenez lui à prendre conscience et développer ses capacités et compétences.

Avertissement : ces conseils sont informatifs et ne peuvent se substituer à la consultation d'un professionnel en cas de problèmes récurrents, de phobie scolaire etc.

1.La dé-culpabilisation par comparaison.
Il, elle se sent nul(le), ne veut pas ou a peur de vous décevoir.
Racontez lui, comment hier, il y a 15 jours ou enfant vous avez raté quelque chose, que vous aussi vous faites des erreurs, que parfois vous oubliez quelque chose.
N'hésitez pas dire que vous ne connaissez pas bien cette période de l'histoire ou le mécanisme de la voiture, bref lui posez des questions, le rassurera.
Si l'enfant vous sait "imparfait" il acceptera de faire des erreurs sans se juger "bon à rien" ou pire encore.

2.Le temps comme outil de réflexion
Les enfants comme les adultes n'ont pas la même rapidité intellectuelle. Un lent n'est pas moins intelligent qu'un rapide.
Pas de brusquerie, cela le bloquera et en récurrence peut l'amener à ne plus "oser" s'exprimer á renoncer.
Mieux vaut cesser les devoirs quelques minutes que de mettre la pression.
Temps de concentration maximum d'un enfant de 7 ans = 15/25 minutes, cela dépend de l'enfant, de sa maturité.
.

3.Le booster pour être sociable et en relation avec les autres.
Maman  trop protectrice, papa anxieux, attention aux mises en garde exagérées.
Le principe de précaution appliqué à tout et n'importe quoi provoque le stress et la peur des autres, la peur de tout.
 C'est le lit de l'anxiété et son cortège de stress, phobies etc...
Laissez le, la "se casser la figure" et pas que physiquement, faire ses expériences parfois négatives, c'est ainsi qu'un enfant se construit, apprend à tirer des leçons de ce qu'il vit, à se défendre, s'affirmer et trouver des solutions par
 lui-même l'aide á devenir autonome.

S'il ou elle est timide, réservé(e) incitez le à aller vers les autres en lui présentant les avantages qu'il aura à fréquenter tel ou tel autre enfant.
C'est en essayant qu'il atténuera ses appréhensions du regard de l'autre.
Inscrivez le à un cours collectif, sport, chant, théâtre etc...Même s'il rechigne, insistez, c'est important pour son avenir d'apprendre à s'adapter aux autres, à vivre en société.
Mais ici aussi, si il préféré un sport individuel dans lequel  il évolue a son aise, écoutez le, l'un n'exclut pas l'autre
L'appartenance à un groupe donne à un enfant le sentiment d'être apprécié, accepté surtout vers l'adolescence

4. L'expression verbale et l'écoute des émotions pour apprendre ce qu'est l'autonomie.
Laissez l'enfant exprimer ses besoins, ses émotions, tout en le canalisant s'il va trop loin, il doit savoir reconnaitre ses propres émotions.
La colère doit être acceptée par les parents comme un moyen d'affirmation.
Lui interdire de se fâcher lui laissera la sensation qu'il n'a pas le droit de...
Il doit apprendre à fonctionner par lui-même sans le secours ou recours permanent à un autre.

Un enfant non écouté, réprimandé pour un rien et de façon injuste ressent un sentiment d'insécurité et de danger et risque de manquer d'estime de lui-même et de brimer ses émotions et de ne pas oser s'exprimer, ce comportement se traduira au masculin par un caractère "taiseux".
Ce même sentiment est présent lorsque des parents sont archi-protecteurs, l'enfant ne sera pas apte à se prendre en charge, manquera d'autonomie ou cherchera á s'imposer devenu adulte sans prendre en compte les autres.

*Un enfant entend, écoute tous les propos des adultes, les paroles négatives sur les voisins, la vie sont intégrées, il risque de ressentir le monde comme dangereux, hostile dans lequel il aura des difficultés á trouver sa place.

5.L'auto-discipline pour mieux se connaitre et avoir la maitrise de 
soi-même
Il est plus doué pour les mathématique que pour le français !
 Vouloir en faire un caïd en français ne l'aidera pas si ce domaine ne lui convient pas, il risque de développer un sentiment d'échec et de renoncer ou le fera "pour vous faire plaisir"
Idem pour un sport,  un art, vouloir en faire le ou la meilleur(e) en tout n'est pas réaliste.
Il doit apprendre à connaitre ses propres limites dans tous les domaines de la vie et dans sa relation aux autres.
Sinon il doutera de lui (elle) si la sensation de ne jamais faire assez bien caractérise l'éducation.
Le schéma de perfection le guette si vous ne l'aidez pas à faire en fonction de ses propres capacités.

*Trop d'interdits, d'exigences, comme trop de laxisme déstabilisent un enfant qui ne saura jamais quelles sont ses réelles capacités, ni comment se comporter avec autrui

6.La reconnaissance comme booster d'estime de soi.
Cassez le cercle infernal des reproches qui dévalorisent un enfant.
"Les tu as encore loupé ça, tu es vraiment bon(ne) à rien, tu rates tout, tu es comme ton père ou ta mère etc"...sera encore plus dramatique si les parents sont séparés.
Le soutien des parents, le bon rapport avec les autres enfants et adultes sont autant de preuves pour un enfant qu'il est accepté comme un individu à part entière, aimé avec ses qualités et défauts.
Une mauvaise note ?
Relativisez en parlant des bonnes notes, en mettant en avant les façons de travailler pour obtenir les bons résultats.
 Pourquoi là réussit-il et là non ? Quelles sont les "stratégies" employées pour y arriver, en comparaison de l'attitude où il a raté ?

7. La responsabilisation des ses actes pour gagner en confiance.
Le carnet de bord ou tableau
Il/elle rouspète, refuse d'effectuer certaines choses : ranger sa chambre, ses affaires, de lâcher l'ordi, vous aider à débarrasser la table etc..Vos cris ne changent rien, au contraire.
Pour qu'il trouve un sens à ce qu'il fait  : le carnet de bord, sur lequel sera inscrit les tâches à effectuer
2 coloris de feutre, un pour le + un pour le -
Faites le bilan en fin de semaine.
Le + l'emporte, il a réussi ce que vous lui demandiez, accordez lui un bonus en service (surtout pas de cadeaux, ni d'argent) en fonction de son âge.
Le - l'emporte (cela ne durera pas) c'est l'enfant qui vous doit un service.
A faire sur plusieurs semaines, il doit vivre cela non comme une punition, mais comme des petits défis à relever.

8.Laissez sa place au père.
Son rôle est important autant pour la fille que pour le garçon qui, dans cette tranche d'âge (7 à 13 ans) le prennent pour modèle, surtout le garçon en recherche du modèle masculin auquel il doit se référer.
 Les enfants ont le besoin de partager des moments avec lui, la notion juste/injuste est à son paroxysme, surtout à partir de 9 ans, l'enfant se compare à l'adulte.
Si, le père n'est plus là, un oncle, un ami, un grand père, un homme de votre entourage doit être présent, dans le mesure du possible bien sûr.

9. La communication parents/enfants pour les comprendre et déjouer certains pièges de la vie.
Un enfant en confiance, ne se sentant pas jugé par ses parents parlera de ce qui ne va pas, de ce qu'il ressent.
L'adolescence est une période de danger pour certains enfants; dont la drogue, l'alcool qui circulent dans les lycées et collèges.
Un ado avec lequel les parents auront abordé librement ces risques, sans minimiser ni dramatiser les conséquences leur en parlera plus facilement.

Si vous repérer un changement important de comportement, parlez lui, exprimez que vous êtes là, prêt à l'entendre.
Pour un garçon, le père sera la meilleure "oreille" à laquelle se confier.

Le conseil en plus numéro 10. Les écrans 
L'idéal est de tout couper au moins 30 minutes avant le coucher pour éviter le stress de l'écran qui est bien une source d'excitation nuisible au sommeil, du moins á l'endormissement.

Faites un deal avec lui en imposant un temps pour chaque chose, de telle á telle heure écran, devoirs, jeux, repas et lá mieux vaut proscrire l'écran, valable aussi pour les parents, établissez un programme auquel chaque enfant doit adhérer.

Une chose qui fonctionne assez bien : "tu fais tes devoir maintenant ainsi tu as le temps de regarder ton écran après".

Responsabilisez le en fonction de son âge, les enfants ont besoin de règles pour se sentir bien, plus elles seront claires et plus il s'y conformera, á faire sur la durée.
Les parents évitent ainsi les débordements.
Un enfant qui dort mal, peu sera un enfant déconcentrer en classe avec le risque de perdre le fil.
L'influence des autres enfants, leurs regards sur lui peut peser á certains, voire les inhiber, parlez en avec lui


Pour terminer.
*Ces années préparent l'adolescence.
* N'oublions pas qu'un enfant s'imprègne de l'ambiance familiale, il la subira des années quelle soit bonne, mauvaise.
*C'est la récurrence de certains propos qui provoquent des dégâts psychologiques, du stress, la dévalorisation, le manque d'estime de soi-même, les troubles anxieux.
*Une parole malheureuse, une rebuffade ponctuelle n'aura, á priori que peu de conséquence... tout dépend évidemment de l'ambiance familiale et de la sensibilité de l'enfant.
Vous n'êtes pas des parents parfaits, vous avez le droit d'être fatigués, énervés, de crier parfois.
N'oubliez pas que le dialogue reste le meilleur moyen de compréhension, d'apaisement
Même si l'enfant semble indiffèrent á vos paroles, il les écoute et de cela ne doutez pas.


Si votre enfant est hyper actif, manque de concentration rendez-vous ici pour découvrir une méthode de détente (voir la marche consciente)

Ces conseils sont à adapter en fonction de l'âge et du caractère, de la personnalité
La pré-adolescence apporte déjà des changements hormonaux et des débordements divers, la fermeté, oui je sais qu'elle est parfois complexe á mettre en place mais plus vous la mettrez tôt en place et plus elle sera efficace 😊
N'hésitez pas à consulter un professionnel si nécessaire.


Doute, décision importante à prendre, besoin d'un conseil ?

Ayez le réflexe Allô, une psy au téléphone, si vous êtes loin de mon secteur

J'assure moi-même les consultations, uniquement sur rendez-vous.




samedi

Pâques 2021 renaissance ou résurrection de la vie d'avant !


Pâques 2021 et renaissance de la liberté !

Joyeux Pâques á mettre cette année sous le signe d'un envol vers le renouveau...celui espérons le, de la fin de cette pandémie !


Un face á face 

Souvenons-nous que cette fête symbolise la résurrection de Jésus, donc mort et renaissance alors souhaitons que très bientôt un retour á une liberté totale de vivre...ouf.

Pâques ?
 Cette histoire remonte a la nuit des temps et devient universelle 
ou presque au fil des ans mais ne réalisa pas sans douleurs.
En savoir plus sur la vraie histoire :

|Un peu de patience la liberté pointe son nez, la précipitation ne sert a rien, 
cultivons 
la soft attitude

La dégustation du chocolat sous forme d'un œuf ou d'un lapin est récente et comme toujours cette célébration pascale est devenue commerciale.

     En petit comité ou non je vous souhaite
 un excellent weekend de Pâques


Violence comment la signaler signaler ? Infos ici

La violence, un acte subit, des informations pour le signaler !




La parole se libère, les femmes osent le faire
 et surement certains hommes bien que le sujet est pour eux délicat.

Et les enfants ?



Durant le confinement, il est possible de se signaler à un pharmacien qui se mettra en rapport avec l'autorité adéquate, il en est de même pour un enfant, en âge de le faire, qui peut se présenter à un pharmacien et utiliser l'application indiquée ci-dessous.

Une application  à télécharger ici 

Autres possibilités :

Les numéros utiles :

Enfance maltraitée :  ayez le réflexe allô 119
www.allo119.gouv.fr/

Femmes battues : Un n° national d'écoute le : 39 19 Violences Femmes Info, numéro d'écoute national et anonyme. Précision : ce n'est pas un appel d'urgence.
 Urgence : faire le 17 (gendarmerie)
 http://www.sosfemmes.com/ressources/contacts_tel_local.htm

Ce site regroupe tous les numéros pour la France, la Belgique des centres d'hébergement etc...
Sur Nice :  04.93.52.17.81  mail/ accueilfemmesbattues@hotmail.com

Oser se présenter à la police demande du courage tant la peur de l'autre domine.
Un homme violent, une femme violente avec un enfant ou son compagnon sont des lâches, à moins que l'enfant ne soit un exutoire pour une femme battue. 
Cet aspect ne change rien à la réalité et la thématique du plus fort, physiquement, reste un acte de faiblesse et cette "vengeance" là n'a pas d'excuse.

La violence verbale est tout aussi destructrice que la physique, plus sournoise elle distillera lentement mais surement une perte d'estime de soi-même et l'idée que in fine la brutalité, les coups sont mérités comme l'est la dévalorisation.

La violence ne s'arrête pas, elle s'accentue au fil du temps.
Les mots d'excuses, le repentir après coup ne sont que des mots faisant le lit d'une suite d'agressions.
Car, le violent sait qu'il l'est, il peut-être dans le déni, la minimisation il est conscient de ses actes.

Preuve en est de ces hommes frappant, non au visage, mais sur des parties du invisibles corps 

Osez en parler, il existe de nombreuses façons de le faire, ce premier pas sera le plus dur, mais une fois lancé rien n'arrêtera une victime et croyez moi, toutes mes patientes ayant suivi ce chemin s'en sortent, avec du temps, admirablement bien.

Les enfants sont marqués par un père violent avec leur mère, les protéger est souvent le moteur de ces femmes pour devenir actrice de leur vie, se libérer de l'emprise malsaine !



lundi

Comment dopez la confiance de votre enfant et la vôtre pour une rentrée extra-ordinaire

Doper l'estime et la confiance de son enfant, et la vôtre, pour une rentrée sereine.


Comment canaliser votre anxiété sans la transmettre à vos enfants ?

La rentrée, est, restera un espace particulier dans l'année.
elle signe la fin des vacances avec un retour à la normalité.

Ils ont confiance !


Il est donc primordial que parents & enfants vivent une rentrée sereine, dans la mesure du possible.

A lire :
9 conseils +1  pour booster l'estime en lui de l'enfant


Ne vous laissez pas entrainer dans une spirale de stress toujours contagieuse pour l'environnement familiale.

dompter l'anxiété, le stress vous apportera des satisfactions personnelles
  1. Le stress ne solutionne rien
  2. Il incite à tout dramatiser
  3. Peut faire perdre ses moyens
  4. Sème souvent de la confusion
  5. Ne rassure pas du tout les enfants


Pour les parents anxieux !

  1. N'attendez pas la dernière seconde pour les achats
  2. Je le répète, faites confiance à vos enfants
  3. Détendez vous, faites une balade avec lui, elle ou eux
  4. Parlez leur de tout et rien
  5. Stop/angoisse
  6. Vous avez le droit de vous inquiéter, mais canalisez vos émotions.
  7. Sur ce blog, des liens audios, des exercices de détente à utiliser vous-mêmes et certains en famille
  8. Acceptez votre stress sans vous y enfermer
  9. "Oui, je suis inquiet(e), je l'accepte et je laisse glisser mes idées"

Les bonnes résolutions se mettent en place tout au long de l'année,
l'essentiel : "s'y tenir", cette année 2020 est un défi que chacun doit assumer.
Complexe parfois, mais possible pour tout le monde.

Enfants,
 parents 
le mois de septembre est pour nombre d'entre nous sous le signe de la rentrée.
Stress, contentement, agitation, appréhension etc....

Jongler avec cette palette de sensations met en avant la difficulté à les canaliser, surtout les négatives.

Indiquer les mesures de précautions est bon, mais ne les serinez pas à outrance à vos enfants, ils ont compris le risque bien au-delà de ce que vous pouvez imaginer !

Faites leur confiance, l'école se chargera de la suite.
La dramatisation, l'anticipation négative, les principes de précautions obsessionnels sont anxiogènes pour tout le monde, pour vous, les enfants.

Un enfant confiant ne ressent pas le danger partout, il est donc inutile distiller une crainte qui le perturbera.

Avertir oui, Angoisser non😊

IMPORTANT :
Il lui faudra 3 jours >< pour s'adapter au nouveau rythme qu'implique la rentrée.

Un enfant ayant une bonne estime de lui même sait établir de bonne relation avec les autres, et fera ce qu'il faut aux niveaux de l'attention de lui-même et des autres.

Un enfant vit beaucoup dans l'instant présent, même un ado très centré sur lui-même, ainsi le veut cette tranche d'âge, vit le moment.


Attention,
il est normal qu'un enfant, surtout s'il change de système, d'établissement appréhende la nouveauté...doute un peu, s'interroge et ce stress là, à mon sens, primera sur la crainte du virus.

Et, de nombreux enfants sont contents de reprendre le chemin de l'école, ne leur gâchons pas ce plaisir.

Pour aborder cette rentrée plus sereinement voici  un article pour les parents
pour  les parents 

Pensez à ceci :
adulte stressé = enfant stressé !

Ces "conseils" sont à mettre en pratique tout au long de l'année.

Bonne rentrée !

Et bien sur le réflexe psy : en cabinet sur Grimaud (Var) et Gassin
ou par téléphone et Skype si vous habitez ailleurs.


Un psy intervient, également, en conseil
Ne laissez pas le stress s'installer chez un enfant, consultez un psy de votre région, comportementaliste de préférence.

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vendredi

Fille/père...quand la relation vire à la colère, à l'incompréhension ou la haine


Père & fille, fille & père ?

La relation entres ces deux là parfois idyllique peut sombrer dans une distanciation,  de la colère, de l'incompréhension, voire de la haine !


Cette expression " c'est bien la fille de son père" ou "quelle fille à papa"
dénote une entente cordiale et une complicité, la réalité de la relation dans d'autres cas raconte bien d'autres choses.

Confidences


                   Le rapport fille/père est très important pour la fille.

Papa c'est le premier homme que le bébé reconnaitra, plus tard le regard qu'il portera sur sa fille sera essentiel c'est à travers ce regard qu'elle se sentira belle ou pas, il lui donnera confiance en elle ou la démolira au pire, un regard indifférent fera naitre une interrogation !
Papa c'est le protecteur, rassurant...

Cette relation Fille/Père est sacrée tant elle pose l'union du masculin et du féminin sous un autre angle dans laquelle l'homme/père peut donner tout le meilleur de lui-même...dans l'idéal il devrait en être ainsi.

N'oublions jamais que derrière le Père il y a un homme, il s'agit bien d'un homme devenant père...

Comment une relation harmonieuse peut-elle dégénérer en colère ou haine ?
Au moment de l'adolescence la "détestation" d'un parent est fréquente, elle se diluera assez vite sauf cas particuliers et ici j'écris sur ces profils complexes source de haine pour un enfant et l'adulte. Lire Mere/fille

Certains comportements d'un père peuvent justifier un rejet car la souffrance de l'enfant, son incompréhension face à des attitudes paternelles si peu légitimes créent de l'angoisse et le plus souvent une perte de repères et d'estime de soi-même !
Le "désamour" d'un parent sera, restera pour un enfant une source de mal être, une difficulté d'identification.

Jusqu'à l'adolescence, le rapport fille/père est, en général, harmonieux.
Que peut-il se produire pour que cette harmonie devienne grinçante, colérique et pire encore ?

Des profils d'homme, de père
Le père protecteur/confident.
Un premier cas de figure assez classique : un père supporte mal de voir sa fille grandir, devenir femme. Une jalousie "cachée" s'installe, rien d'incestueux, juste un brin de frustration car cette jeune fille va, lentement mais sûrement, se détourner du père pour s'intéresser de plus près aux autres garçons.
Papa va traverser cette période dans la frustration : celle de n'être plus le seul "objet" d'adoration de sa fille qui partage moins de moment.

Selon la personnalité de cet homme, il peut, dans l’extrême, se révéler possessif, autoritaire, posant interdit sur interdit, tout faire pour que sa fille chérie ne se détourne pas de lui...c'est ici que la relation commence à se détériorer !

En toute logique, le père finit par accepter la situation et le plus souvent la mère jouera la médiatrice, si le couple parental est en bonne harmonie.

Si, la mère est jalouse de l'entente fille/père, elle peut aggraver la situation en démolissant sa fille aux yeux du père "tu vois, je te l'avais bien dit qu'elle est égoïste, méchante etc." Cas un peu caricaturale mais vérifié ! 
La fille pour avait pris le partie du père depuis longtemps, se sentant plus proche de lui que de sa mère, parions que son identification sera liée au père...

Là, la relation entre Fille/père dégénère totalement, la colère de la fille, sa rébellion contre une autorité mal venue engendre une surréaction de celui-ci, escalade dans le conflit pouvant virer à une haine et à la tristesse, elle se sentira rejetée par sa mère et son père.

Logiquement la crise finit par se calmer, papa acceptera, il n'a pas le choix, que sa fille chemine vers sa propre vie, qu'il n'est plus le centre de son attention, la jeune fille retrouvera la complicité avec son père mais "autrement" comme une femme et non une enfant !

Sortons maintenant du schéma classique cité ci-dessus pour aborder un profil plus ambiguë !
Un père abandonnant : plusieurs scenari se cachent sous ce profil.
Le divorce, selon la personnalité du père, une séparation peut rimer pour l'enfant à une rupture définitive avec le père, il s'agit bien d'un réel abandon puisque tout lien est rompu temporairement ou définitivement.

Pour l'enfant, une incompréhension, le sentiment d'être peut-être responsable de cet abandon "il ne m'aimait pas pour me laisser ainsi !"..une souffrance terrible, un vide.
L'enfant devenu jeune adulte ou plus tard cherchera sûrement à renouer un lien avec ce père, pour comprendre le sens de cette rupture soudaine et quel rôle joua l'enfant dans la décision du départ.
Aura t'il des réponses ?
 Rien n'est certain car d'évidence un tel père n'était pas très attaché à son enfant, à moins que pour se guérir lui-même, tout dépend de la cause du divorce, de celui ou celle qui a décidé de celui-ci, il peut choisir l'éloignement...ce qui dénote une immaturité, un égoïsme certain et ne cautionne pas une telle attitude.

Ce père sera détesté, s'il réapparait des années plus tard, je dirai "presque trop tard", sa fille devenue adulte pardonnera ou non.
Si ce père revient pour des raisons de confort, d'intérêt car en difficulté, l'accueil risque d'être glacial...il faut avoir connaissance des détails pour juger de la suite.

 L'abandon d'un enfant est aussi dramatique pour la fille que le garçon qui ne pourra s'identifier à un père intériorisé comme lâche.
Pour une fille il en résultera = homme=danger, non fiable.
Généralement ce type d'abandon n'est jamais pardonné laissant trop de séquelles psychologiques chez un enfant pour qu'il puisse le comprendre.
La blessure cicatrisera difficilement car le manque restera à vif.

Un père abandonnant peut-l'être volontairement en fuyant le foyer du jour au lendemain, soit suite à une rencontre soigneusement cachée, soit pour un ailleurs que lui seul connait.
La cassure est violente pour la fille, la famille qui éclate ainsi brusquement.
La haine de l'enfant, surtout après l'âge de 6/7 ans, sera la  conséquence de ce comportement, d'autant que ce monsieur abandonne sa compagne, d'autres enfants peut-être et que l'enfant, la fille ne pourra que se tourner vers cette mère, se raccrocher à elle et inversement, la fratrie, normalement, fusionne.

 Le risque sera qu'elle se sente responsable de sa mère, mais tout dépend de la "solidité" psy de la maman.
Méfiance envers l'homme, désir de vengeance car la famille explose, se trouvant parfois dans d'énormes difficultés financières. Lire plus bas les "schémas de vie"

Quelques profils  pathologiques.
Le père violent : une fille pardonnera t'elle la violence subie par la mère, sur peut-être un fils ou une soeur et sur elle-même ? A lire sur la violence
 Petite, elle aura peur, totalement insécurisée par les cris, le moment qui dégénère, le mot en trop de maman, comment sera le père en rentrant...

Pour la petite fille il est toujours le "papa", attachée à lui, elle ne comprend pas tout de la violence et pour certains enfants "elle est normale" !

Là aussi, vers l'âge de 7 ans, sa position va évoluer comme son regard sur le père devenant plus critique, la peur plus affûtée car conscientisée.
 Qu'elle subisse ou non la violence physique du père, il y a dans 80% des cas une dévalorisation envers l'enfant, une violence psychologique de part les scènes terrifiantes auxquelles elle assiste et/ou entend.

 Ce père sera craint et progressivement détesté, l'amour devient haine ou plus exactement un tiraillement se créera, mixte de ces deux sentiments.

 La  suite : soit papa est arrêté, séparé de maman selon l'âge de l'enfant ce peut-être un soulagement mais il en restera des séquelles plus ou moins importantes., soit la famille survivra dans une ambiance destructrice.
Selon le contexte, un lien fille/père peut se retisser, lentement car un père le sera pour toujours et s'il fit partie des années durant de la vie de sa fille, elle aura des difficultés à totalement couper le lien.
 A lire

Le père "autoritariste" négatif avec des traits de narcissisme.

Avec ce profil nous retrouvons la violence psychologique mais plus sournoise car souvent cachée sous des apparences, des mots : "c'est pour ton bien que je te dis cela !" "tu verras plus tard, faut bien se plier aux ordres" etc.etc.
Les interdits foisonnent : ne pas déranger papa, ne pas crier, ne pas exprimer, être toujours comme il le veut...
Le papa qui s'occupe de lui, fait passer ses besoins ou priorités en premier, la maison vit à son rythme.

C'est un autre style de peur que la précédente mais tout aussi ravageuse dans ses conséquences psychologiques même si la mère fait tampon entre la fille et le père, adoucissant les injonctions de ce dernier en rassurant son enfant.

En grandissant, la fille va se révolter et je le lui souhaite pour s'émanciper ce ce formatage paternel tout en angle acéré.
La colère car rôde l'idée "de ne jamais en faire assez, jamais assez bien, jamais comme il faut" induit des schémas de perfection, d'anxiété, de performance si l'enfant à une forte personnalité mais si la fragilité l'emporte risque d'échec face à la vie.

Ces schémas de vie sont valables pour les profils précédents et suivants à quelques nuances près, seul le papa poule ne fera pas autant de dégât
Soit elle cherchera très vite à créer son propre foyer en fuyant ce père, soit elle errera dans la vie reproduisant à l'infini les relations parentales = homme narcissique/autoritaire, soit elle se masculinisera...


Le père manipulateur? 2 "types" de manipulateur.

Prudence car la manipulation concerne plusieurs profils très variés, un papa poule peut l'être, un narcissique non.
Mon profil est celui du vrai manipulateur non violent. La manipulation peut se terrer derrière la plus grande gentillesse, la bienveillance. 
L'objectif d'une manipulation dépend du contexte, de ce que désire le père.

 La pire des manipulation pour un enfant reste la culpabilisation, rôle qu'endosse un père ou une mère se posant "en victime". Une manipulation douce !

L’encensement de l'enfant le perturbera à vie car le jeu pervers du "tu es magnifique ma fille, mais tu devrais...." tu veux ceci, et bien donne-moi cela..." "je travaille beaucoup pour que tu ne manques de rien..."ces propos anxiogènes laissent des traces

Parents rassurez vous, ces phrases tout le monde peut les dire, c'est la récurrence sur des années qui est périlleuse comme un matraquage répété, seriné bien trop souvent, un manipulateur les utilise beaucoup.

Pourquoi la fille en arrivera à s'éloigner du père ? 
Cette manipulation concerne toute la famille avec un besoin d'emprise, de pouvoir sur l'autre, les autres et les séquelles en sont terribles. La culpabilité, une difficulté à se situer, à penser par soi-même. 

La mère joue un rôle important selon son comportement soit rassurant, soit tampon, si elle est fragile un sentiment d'insécurité dominera

Très souvent c'est vers l'âge adulte que l'enfant discernera le rôle ambiguë du père et le manque de liberté d'être sans en payer le prix...."une mauvaise fille" si elle n'est pas conforme à ce que papa attend d'elle.

L'éloignement sera souvent l'attitude adoptée mais pas la confrontation car la crainte de blesser ce père incite à l'évitement.
Certaines en prendront conscience d'autres non et traineront à vie une image d'elle égratignée  en manque d'estime.

La manipulation perverse.
Bien plus visible que la précédente car factuelle en utilisant des choses, personnes, animaux aimées de l'enfant comme objet de chantage ou comme exemple.

Une jeune femme me racontait, qu'enfant si son père estimait qu'elle n'était pas sage, se rebellait, il prenait le chien et l’enchaînait avec interdiction de le nourrir et en cas de désobéissance menaçait de le tuer.

Un autre punissait le petit frère pour qu'elle comprenne que tout acte non conforme avait des conséquences sur les autres.
Comment aimer un tel père instaurant un règne de la terreur dans lequel tout le monde paye pour l'autre ?

Culpabilisation ici également, crainte induisant un blocage psychologique, de l'angoisse, un sentiment d'infériorité et des carences émotionnelles/affectives.

Elle détestera cette homme avec le risque de projeter sur tous les autres hommes cette perversion affective.
Un lien peut-il se renouer ? Difficilement car ce type de manipulateur le restera à vie, la psychorigidité ne rimant pas avec prise de conscience. 

Rien n'est jamais parfait dans une éducation, mais certains profils de père ou mère n'assumant pas leur rôle, ayant des comportements destructeurs créeront chez les enfants une difficulté à grandir "normalement", l'identité sera fragile en manque de confiance. Lire "Image parentale et vie amoureuse"

Certains enfants résilients s'en sortiront fort bien, point positif faisant comprendre que rien n'est définitivement "écrit", que le pire démarrage dans la vie, une enfance sacrifiée peut faire de formidables adultes.

Cet article est informatif, généraliste, il décrit des profils bruts, dans la réalité des nuances sont présentes.

Laissez des commentaires sur vos expériences, d'autres profils, oui il en existe beaucoup d'autres qui feront l'objet d'un autre article.

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mardi

Comment l'image du couple parental dessine votre vie amoureuse !

Quel lien y a t-il entre l'image que vous avez de vos parents et votre vie amoureuse ?

Comment l'image du couple parental peut-il influencer 
notre vie affective ?
Comment les enfant "voient-ils" le couple parental

N'oublions pas que nous sommes sous l'influence de l'ambiance qui domine le foyer, du rapport qu'ont les parents entres eux et de l'environnement durant des années...
de la naissance à l'adolescence et même au delà !
Ces premières longues années sont déterminantes  au niveau de la personnalité et de l'image intériorisée des parents et de la façon dont ils vivent leur propre amour.

Aujourd'hui nous nous intéressons aux parents, au lien les unissant, à leur entente, à ce qu'ils montrent d'eux, bref à tout ce qui constitue le sentiment amoureux.

Véhicule au combien marquant pour définir le genre de couple que nous souhaitons créer.

Inconsciemment et dès le  début, une image se dessine dans notre esprit :
Qui fait quoi ?
Qui se soumet le plus rapidement ?
Qui est le plus calme, le plus stressé, le plus tolérant ?
Comment communiquent-ils ?
Qui écoute le plus l'autre ?
Semblent-ils et sont-ils heureux, bien ensemble ?
Privilégient-ils des moments rien que pour eux ?
Se disputent-ils, un peu, beaucoup, pas du tout ou passionnément ?
Et à quelle cadence ?
Les pensez-vous amoureux l'un de l'autre et le montrent-ils ?
Voyez-vous l'un ou l'autre peu épanoui ?
Ce couple est dysfonctionnel ou pas ?
Ce qu'ils montrent d'eux en société est-il le reflet de leur réalité ? 
Sont-ils en cohérence avec eux-mêmes ou l'un d'eux est-il dans la démonstration, apparence ?
Etc.

Le coupe formé par les parents, la nature de leur relation distillera le désir de reproduire ou de fuir cette image initiale

Voici quelques exemples de couple à affiner selon votre expérience !

Un couple uni sur la durée, à l'écoute l'un de l'autre véhiculera une image forte et solide de la relation.
Le désir sera de reproduire le même schéma avec parfois l'appréhension de ne pas y arriver.
Ce qui est logique puisque ni vous, ni votre partenaire n'êtes papa et maman.
Vos personnalités diffèrent de celles des parents, donc 
votre relation ne sera pas un copié/collé de l'image parentale.
Si vous l'acceptez, votre relation peut parfaitement fonctionner.

Info psy : ne recherchez pas à faire comme eux, votre bonheur vous appartient en propre, centrez vous sur vos besoins personnels !

Un couple dysfonctionnel, dans le conflit récurrent distillera aux enfants une image de tension, de mal être insécurisant.
Votre désir sera de ne surtout pas revivre ce même schéma de couple dans lequel l'équilibre ne règne pas, l'entente semble toujours éphémère.
Des parents vivant dans le conflit permanent, dans les reproches font peur à un enfant, qui ne se sent pas en sécurité. 
Le risque ; en voulant impérativement ne pas vivre comme eux, s'orienter vers une personne ne vous correspondant pas du tout.
Vous n'êtes pas eux, ne l'oubliez jamais,
ici aussi acceptez ce couple parental sans l'associer à vous, n'ayez pas peur de l'échec, ne vous brimez pas, soyez souple avec vous-même.

Info psy : apprenez à vous affirmer sans éclat, si vous êtes anxieux, stressé ce qui est malheureusement la conséquence de l'insécurité ressentie dans l'enfance faites un travail sur vous.

Le couple dominant/dominé, vous aurez surement l'image d'un parent malheureux, subissant le caractère de l'autre.

Si c'est la mère qui se soumet et que vous êtes une fille, vous pouvez rejeter l'image de la mère, donc de la femme, tout en détestant le père.
Sur le fond vous vous sentez proche de votre maman.

Si vous êtes un garçon, l'image sera plus dualitaire, vous en voulez au père, mais n'acceptez pas la souffrance de la mère.

Si c'est le père qui se soumet, la fille le plaindra mais le critiquera plus tard et son crédo sera "jamais je n'aimerai un tel homme"

Pour le garçon, il rejette l'image d'un père auquel il ne peut s'identifier, trop mou, lâche. Vis à vis de sa mère elle peut devenir le modèle de femme forte...

Vous l'avez compris ce couple parental sèmera le doute avec la tentation de reproduire ou de fuir.
Tout dépend de votre personnalité, de votre capacité à prendre la hauteur vis à vis de l'image.

Info psy : apprenez à développer la tolérance à l'autre, en l'acceptant. Pour éviter la soumission travaillez l'estime de vous-même

Le couple passionnel, ils s'aiment nul ne peut en douter, ils se déchirent pour mieux se retrouver. Une image volcanique symbolise ce couple.
Cris et chuchotements, tendresse et colère se succèdent.
Sont-ils pareils avec leurs enfants ?
Peut-être. 
En général l'image  de cette relation parentale sera belle.
Mais peut apeurer un enfant en soufflant le chaud et le froid surtout si la relation passe avant les besoins de l'enfant...mais rien ne peut certifier cet aspect.
Si tel est le cas, un enfant doutera, en manque de confiance et comment faut-il aimer pour l'être ?
Quelle image aura t-il de sa vie amoureuse, comment peut-il concevoir la relation affective ?

Le même schéma sera au rendez-vous ou bien la recherche d'une histoire "posée" titillera l'enfant devenu adulte.
Aimer oui, mais dans le calme.

Question de personnalité et de l'ensemble de l'éducation, dont le rapport avec chaque parent joue un rôle primordial.

Info psy : trouvez un équilibre dans un juste milieu et surtout apprenez à vous rassurer. 
Le risque est la dépendance affective, la peu de s'attacher et de souffrir.

Le couple "coincé", il en existe de nombreux.
 Ils sont discrets, en retenue permanente, "faut pas montrer ses sentiments en public", pas de geste tendre, ni de démonstration affective face aux enfants.
Ils ne se disputent pas, du moins, si ils le font c'est dans l'intimité ce qui est plutôt positif pour les enfants/

Quelle image teintera l'esprit de l'enfant devant tant de "froideur", car il retiendra cet aspect avec un questionnement : "s'aiment-ils vraiment ?"
Inconsciemment, ce tempérament trop réservé des parents sèmera de la confusion. 

Est-cela l'amour ?
Le problème est que de tels parents sont très souvent peu affectueux avec les enfants, les câlins, les bisous trop rares.
L'enfant se sentira aimé, mais il lui manquera "ce petit quelque chose" qui se manifestera chez l'adulte par une difficulté à montrer, exprimer son affection par des gestes tendres.

Info psy : Apprenez à cultiver votre vulnérabilité, donnez vous le droit d'oser afin de dépasser vos blocages.

Je vous conseille de consulter ces articles  de psychanalyse Jungienne pour en savoir plus sur notre construction identitaire :

Cet article est informatif, généraliste, il dépeint de profils types, la réalité est toujours plus complexe.



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