samedi

Accepter ses peurs avec la psychothérapeute Comportementale (TCC) Golfe de Saint-Tropez

                                     Accepter ses peurs avec :
La psychothérapie cognitivo-comportemenale

Golfe de Saint-Tropez

Face aux peurs de l'être humain





Pensez aux consultations via Skype ou le téléphone.

N'est-ce pas le souhait profond de chacun d'acquérir se sentiment intérieur de liberté, de ne plus avoir peur ?

L'équilibre intérieur passe par l'acception de soi-même et en TCC de la 3éme vague de l'acception de ses symptômes !

Oui, c'est complexe d'accepter des états psychologiques très désagréables.
Et pourtant, la résistance, la lutte contre soi-même soit en évitant, soit en refusant les angoisses accentue celles-ci !

Il en est de même avec les pensées présentes, plus vous les combattez, les rejetez, vous les interdisez et plus elles s'imposent.

Pourquoi ?
Un tour vers notre cerveau et la science.
Dans l'anxiété se créent des anomalies biologiques.
Le rôle de l'amydagdale dans les peurs conditionnées, telles que les crises de paniques et autres symptômes est avéré, elle s'active dans le stress au delà de la normale.

Le cortex préfrontal  avec sa région ventro-médiane  et ses nombreuses connections nerveuses est également impliqué dans l'anxiété.
Pour information, ce cortex joue un rôle important dans la modulation des émotions.
Sans oublier les neurotransmetteurs, que l'anxiété perturbent créant des symptômes physiques.
La sérotine par exemple peut manquer.

Le plus, l'immense plasticité du cerveau permet l'extinction des pensées et peurs oui comme un incendie, donc la régulation de ce qui dysfonctionne en établissant un autre rapport à celles-ci !
Les peurs subsistent mais elles sont vécus "autrement" avec recul en "donnant d'autres réponses que celles automatisées, conditionnées par la peur, l'émotion refoule.

En effet, le cortex préfrontal est reconnu depuis longtemps dans l’inhibition de réponses comportementales inappropriées.

C'est ici qu'intervient La thérapie Cognitivo-Comportementale 
La cognition est une idée, pensée, le système cognitif c'est votre propre système de pensée

Elle aide à affronter les peurs, pour les apprivoiser en passant par l'acceptation

Autre point important :
La communication avec vous-même et les autres.
La rumination conduit directement au débordement émotionnel
Ici encore plus qu'ailleurs le "sens du mot juste" importe puisque le mot inapproprié crée de l'angoisse

*Oui, la notion du moment présent importe plus que tout et spécifiquement en TCC dernière génération

Le passé ne peut se détricoter mais ne disparait pas,
votre personnalité est ce qu'elle est,
 inutile de faire des efforts pour changer car on ne change pas.*

Pourquoi ?
Se forcer à signifie "s'interdire" un comportement en se forçant à être autrement.
C'est une utopie, douce mais irréaliste et périlleuse car anxiogène.

* Donner un sens à ce qui est fait, là et maintenant !

Mélange de yoga et de certains préceptes du bouddhisme, tels que l''Attention Parfaite

La Pleine conscience ouvre des horizons autres en ayant un autre rapport à soi-même, à des symptômes.

* Faire de soi l'élément stable en s'observant en toute amitié
 donc sans jugement" je suis nu(le), bon(ne) à rien, je rate tout " etc...

*S'intérioriser dans un ressenti, des pensées (bonnes ou mauvaises) sans s'y arrêter, en acceptant ce qui est sans vouloir le rectifier à tout prix.

*Acceptation, autre regard sans jugement ni appréhension

*Distanciation cognitive pour appréhender ses pensées pour ce qu'elles sont : 
un épisode psychologique sans réalité.

De quoi s'occupe la TCC ?
Tout ou presque :
Addiction
stress, anxiété
T.O.C
Sommeil
Phobies
Manque estime et confiance en soi-même
Épisode dépressif
Le comportement en général dont la communication

 Le couple en TCC du couple etc.

sur rendez-vous uniquement

Je propose des entretiens par téléphone ou Skype si vous êtes loin du GOlfe de Saint-Tropez

je suis également Psychanalyste Jungienne
et praticienne en MBTC (pleine conscience)


Prenez soin de vous pour vivre mieux

Me consulter par téléphone/Skype ou mail, les infos sont ici : 

lundi

La femme ses droits ! Une façon d'être libre & femme chronologie

La femme, la société, les droits, comment évolua le statut de la femme ?
"Une façon d’être libre & femme"

Une façon d'être libre & femme

La journée de la femme célèbre les droits de la femme, en ce sens cette journée revêt un caractère particuliers
qui ne devrait pas l'être puisque il s'agit d'un droit acquis

Au fil des ans, des femmes et des hommes se sont "battus" pour que la femme acquiert certains droits, celui d'être reconnu comme un individu à part entière, ayant une existence légale.

La liberté "d'être", "d'exister" en tant qu'individu conscient de soi-même, de ses droits rime avec liberté !

Le combat fut long, nous devons aux féministes, quoique nous pensions de cette mouvance, le droit à l'avortement, entre autre vient de là !
Et ce n'est pas rien !

N'oublions pas que dans de nombreux pays les femmes n'ont aucun droit, elles sont déniées en tant qu'être humain.
Soumises à la loi de l'homme, des traditions,de la religion elles survivent dans un environnement violent, condamnées à se taire, se cacher.

Voyage dans le temps pour découvrir l'évolution de l'homme, de la société.
Le lien entres les diverses découvertes et l'avancée de la société n'est plus à faire.

Toutefois, certaines découvertes resteront dans l'ombre des siècles avant d'arriver dans nos foyers.


Notre société accouche t-elle de gens "heureux" "épanouis" ?
Non, 
Chiffre à l'appui, les plus épanouis (es) habitent dans les pays en voie de développement.
La  solidarité, l'entre aide y sont une question de survie.
Pour nous la survie c'est de posséder le dernier téléphone à la mode !
Question de priorité !

L'être humain, libéré de la lutte pour sa survie, les besoins essentiels assouvis se sent il "LIBRE" ?  
Non, car plus de la moitié de l'humanité survit dans des conditions dramatiques et ceux vivant dans le confort vibrent dans la frustration permanente, dans l'insatisfaction, le matériel peut devenir la pire des entraves à la liberté !


A t-il conscience de son rôle et a t-il réellement trouvé sa place dans une société
 technologique, de plus en plus "froide" par individualisme, où manque peut-être, la convivialité, l'échange...
 J'ai parfois la sensation que l'humain souffre d'amnésie dans ce "formatage mental", incité à faire, en oubliant d'être.
Il ne réfléchit plus, se déresponsabilise...

L'histoire des sociétés nous apprend qu'après toute apogée vient le déclin, l'occident glissera peut-être par nonchalance, compromission envers les trusts financiers, le confort, l'assistanat conduisant à l'inertie & la passivité...comment évoluera-t'il ?

Mon interrogation, la femme sera-telle le " futur" positif de ce déclin, elle a un rôle déterminant à tenir dans cette évolution ?
Je penche pour le oui, elle le fera d'autant mieux si l'homme adhère.
Pourquoi ?
Une avancée se fait déjà à travers des jeunes femmes plus sensibilisées à l'environnement, conscientes que demain dépend de l'humain d'aujourd'hui.

Elles sont réactives, concernées et lucides sur la société actuelle qui ne peut perdurer telle qu'elle est consumériste, appauvrissante pour une majorité dont les femmes sont les premières victimes avec les enfants.

Ne rêvons pas, rien n'est gagné, c'est une prise en main non sans douleur, la vigilance reste de mise pour que celles qui ont un rôle demain, sûrement les filles de la génération des trentenaires d'aujourd'hui qui sauront éviter les écueils des générations passées.

La femme a des droits, l'instruction en est un essentiel, l'éducation parentale doit aujourd'hui aider l'enfant à ouvrir les yeux sur la réalité de la vraie vie.

Il ne s'agit pas de tout rejeter, mais d'équilibrer, de trouver un juste milieu.

Nous sommes, femme et homme, complémentaires, l'union des contraires donne la force du dépassement de soi, de l'autre il faut prendre le meilleur pour grandir soi-même, et non faire de l'échange un champ de bataille.

Un voyage rapide dans le passé pour y découvrir le statut de la femme à travers les siècles.

10 000 ans avant J.C.
 Une première grande révolution, prémices de centaines d'autres, modifie le paysage et l'existence de nos ancêtres :
la culture des plantes et l'élevage  d’animaux domestiques prend le pas sur la chasse, seule nourriture avec la cueillette de racines, baies de l'homme préhistorique 
Cette mutation, révolution devrais je écrire est la base, la genèse de notre civilisation actuelle.
Oui, 10 000 ans déjà  qu'apparaissent la céramique, le polissage de la pierre, l'homme se "pose" en construisant de petits villages, il devient PRODUCTEUR, délaissant son statut de prédateur !
 A relativiser avec le recul.
 Cette époque charnière est une esquisse de notre monde futur.
L'homme en se sédentarisant crée le village, la ville, l'état, les lois.
La société se structurera au fils des siècles.
Et la femme dans tout ça !


7 au 5ème siècles avant J.C.
Grèce, naissance de la philosophie, on cultive 'l'amour de la sagesse", Socrate dont nous connaissons tous le fameux " connais toi, toi-même" pratique la maïeutique ou l'art du questionnement, que nous utilisons aujourd'hui en psychothérapie.
306 av J.C, Epicure prône "la pure joie d'exister".
N'en déplaise à certains, l'épicurisme vise plus le contrôle du plaisir que l'assujettissement au plaisir...déformation d'une pensée se rapprochant du bouddhisme.
Mais les grecs sont misogynes...la femme reste la gardienne de l'intérieur du foyer, se doit d'être obéissante, fidèle, soumise...elle enfante, gère son foyer...etc...
Les siècles défilent, rien n'évolue vraiment dans l'univers de la femme.
1797.
Un américain invente la première machine à laver...histoire à suivre, car cette découverte comme le rêve d'Icare de voler, restera pour longtemps du domaine de l'utopie.
1856....
Naissance de Freud. Il "parle" de la libido (énergie psychique) comme base du comportement que nous revisitons aujourd'hui
humain...cette vision matérialiste de l'âme humaine sera "revisitée" par les psychiatres/psychanalystes, contemporains, mais dissidents de Freud.
Nous devons à ces découvreurs "la libération par la parole".

1879.
Edison invente la lampe à incandescence...
La Fée Électricité est née.
Le monde nouveau, moderne est en marche.

1880/1881/82/84
1880, l'enseignement à la Sorbonne est ouvert aux femmes
1881, l'enseignement obligatoire, laïc et public est ouvert aux filles et garçons.
Une femme est reçue pour la fois au concours de l'externat en médecine.
En 1884 la femme peut divorcer sous certaines conditions.
France : La loi Naquet rétablit le divorce, pour faute seulement, pas par consentement mutuel.
Clémence Royer, femme de sciences, donne des cours à la Sorbonne. 
Belgique : Isala Van Diest, première femme médecin belge, est autorisée par arrêté royal à ouvrir son propre cabinet médical.
Et ceci de bien de bien étrange, le divorce sera un chemin bien houleux durant quelques années.
Une loi autorisant le divorce est promulguée en 1792 pendant la Révolution et abrogée en 1816 sous la Restauration. Il est rétabli en juillet 1884.

1920.
Apparition du premier lave linge électrique..souvenez vous de 1797.
1945.
La femme obtient le droit de vote.
1950.
Naissance de la pilule contraceptive.
1965.
La femme obtient le droit de gérer son patrimoine, exercer une activité, ouvrir un compte sans l'autorisation de son époux.
1967.
La pilule contraceptive est accessible à toutes les femmes.
Vulgarisation de la machine à laver, envahissant les foyers.😏
1975
Loi du  relative à l'interruption volontaire de grossesse, dite loi Veil est promulguée.

XXI siècles.
L'homme ne chasse plus, ni n'entretient le feu pour la survie de sa famille.
Le patriarcat est révolu (théoriquement) dans le monde occidental.
La technologie libère l'humain, lui offrant des "possibles" dont le choix pour la femme, ceux  d'enfanter, de divorcer, de travailler, de voyager seule etc...

La complémentarité femme/homme sera la solution pour le futur..
utopie ou non !

Laurence Psychothérapeute Cognitivo-Comportementale (TCC) et analyste Jungienne
Golfe de Saint-Tropez

En savoir plus

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vendredi

Fille/père...quand la relation vire à la colère, à l'incompréhension ou la haine


Père & fille, fille & père ?

La relation entres ces deux là parfois idyllique peut sombrer dans une distanciation,  de la colère, de l'incompréhension, voire de la haine !


Cette expression " c'est bien la fille de son père" ou "quelle fille à papa"
dénote une entente cordiale et une complicité, la réalité de la relation dans d'autres cas raconte bien d'autres choses.
Photo de Raoul Gilibert

Le rapport fille/père est très important pour la fille.

Papa c'est le premier homme que le bébé reconnaitra, plus tard le regard qu'il portera sur sa fille sera essentiel c'est à travers ce regard qu'elle se sentira belle ou pas, il lui donnera confiance en elle ou la démolira au pire, un regard indifférent fera naitre une interrogation !
Papa c'est le protecteur, rassurant...

Cette relation Fille/Père est sacrée tant elle pose l'union du masculin et du féminin sous un autre angle dans laquelle l'homme/père peut donner tout le meilleur de lui-même...dans l'idéal il devrait en être ainsi.

N'oublions jamais que derrière le Père il y a un homme, il s'agit bien d'un homme devenant père...

Comment une relation harmonieuse peut-elle dégénérer en colère ou haine ?
Au moment de l'adolescence la "détestation" d'un parent est fréquente, elle se diluera assez vite sauf cas particuliers et ici j'écris sur ces profils complexes source de haine pour un enfant et l'adulte. Lire Mere/fille

Certains comportements d'un père peuvent justifier un rejet car la souffrance de l'enfant, son incompréhension face à des attitudes paternelles si peu légitimes créent de l'angoisse et le plus souvent une perte de repères et d'estime de soi-même !
Le "désamour" d'un parent sera, restera pour un enfant une source de mal être, une difficulté d'identification.

Jusqu'à l'adolescence, le rapport fille/père est, en général, harmonieux.
Que peut-il se produire pour que cette harmonie devienne grinçante, colérique et pire encore ?

Des profils d'homme, de père
Le père protecteur/confident.
Un premier cas de figure assez classique : un père supporte mal de voir sa fille grandir, devenir femme. Une jalousie "cachée" s'installe, rien d'incestueux, juste un brin de frustration car cette jeune fille va, lentement mais sûrement, se détourner du père pour s'intéresser de plus près aux autres garçons.
Papa va traverser cette période dans la frustration : celle de n'être plus le seul "objet" d'adoration de sa fille qui partage moins de moment.

Selon la personnalité de cet homme, il peut, dans l’extrême, se révéler possessif, autoritaire, posant interdit sur interdit, tout faire pour que sa fille chérie ne se détourne pas de lui...c'est ici que la relation commence à se détériorer !

En toute logique, le père finit par accepter la situation et le plus souvent la mère jouera la médiatrice, si le couple parental est en bonne harmonie.

Si, la mère est jalouse de l'entente fille/père, elle peut aggraver la situation en démolissant sa fille aux yeux du père "tu vois, je te l'avais bien dit qu'elle est égoïste, méchante etc." Cas un peu caricaturale mais vérifié ! 
La fille pour avait pris le partie du père depuis longtemps, se sentant plus proche de lui que de sa mère, parions que son identification sera liée au père...

Là, la relation entre Fille/père dégénère totalement, la colère de la fille, sa rébellion contre une autorité mal venue engendre une surréaction de celui-ci, escalade dans le conflit pouvant virer à une haine et à la tristesse, elle se sentira rejetée par sa mère et son père.

Logiquement la crise finit par se calmer, papa acceptera, il n'a pas le choix, que sa fille chemine vers sa propre vie, qu'il n'est plus le centre de son attention, la jeune fille retrouvera la complicité avec son père mais "autrement" comme une femme et non une enfant !

Sortons maintenant du schéma classique cité ci-dessus pour aborder un profil plus ambiguë !
Un père abandonnant : plusieurs scenari se cachent sous ce profil.
Le divorce, selon la personnalité du père, une séparation peut rimer pour l'enfant à une rupture définitive avec le père, il s'agit bien d'un réel abandon puisque tout lien est rompu temporairement ou définitivement.

Pour l'enfant, une incompréhension, le sentiment d'être peut-être responsable de cet abandon "il ne m'aimait pas pour me laisser ainsi !"..une souffrance terrible, un vide.
L'enfant devenu jeune adulte ou plus tard cherchera sûrement à renouer un lien avec ce père, pour comprendre le sens de cette rupture soudaine et quel rôle joua l'enfant dans la décision du départ.
Aura t'il des réponses ?
 Rien n'est certain car d'évidence un tel père n'était pas très attaché à son enfant, à moins que pour se guérir lui-même, tout dépend de la cause du divorce, de celui ou celle qui a décidé de celui-ci, il peut choisir l'éloignement...ce qui dénote une immaturité, un égoïsme certain et ne cautionne pas une telle attitude.

Ce père sera détesté, s'il réapparait des années plus tard, je dirai "presque trop tard", sa fille devenue adulte pardonnera ou non.
Si ce père revient pour des raisons de confort, d'intérêt car en difficulté, l'accueil risque d'être glacial...il faut avoir connaissance des détails pour juger de la suite.

 L'abandon d'un enfant est aussi dramatique pour la fille que le garçon qui ne pourra s'identifier à un père intériorisé comme lâche.
Pour une fille il en résultera = homme=danger, non fiable.
Généralement ce type d'abandon n'est jamais pardonné laissant trop de séquelles psychologiques chez un enfant pour qu'il puisse le comprendre.
La blessure cicatrisera difficilement car le manque restera à vif.

Un père abandonnant peut-l'être volontairement en fuyant le foyer du jour au lendemain, soit suite à une rencontre soigneusement cachée, soit pour un ailleurs que lui seul connait.
La cassure est violente pour la fille, la famille qui éclate ainsi brusquement.
La haine de l'enfant, surtout après l'âge de 6/7 ans, sera la  conséquence de ce comportement, d'autant que ce monsieur abandonne sa compagne, d'autres enfants peut-être et que l'enfant, la fille ne pourra que se tourner vers cette mère, se raccrocher à elle et inversement, la fratrie, normalement, fusionne.

 Le risque sera qu'elle se sente responsable de sa mère, mais tout dépend de la "solidité" psy de la maman.
Méfiance envers l'homme, désir de vengeance car la famille explose, se trouvant parfois dans d'énormes difficultés financières. Lire plus bas les "schémas de vie"

Quelques profils  pathologiques.
Le père violent : une fille pardonnera t'elle la violence subie par la mère, sur peut-être un fils ou une soeur et sur elle-même ? A lire sur la violence
 Petite, elle aura peur, totalement insécurisée par les cris, le moment qui dégénère, le mot en trop de maman, comment sera le père en rentrant...

Pour la petite fille il est toujours le "papa", attachée à lui, elle ne comprend pas tout de la violence et pour certains enfants "elle est normale" !

Là aussi, vers l'âge de 7 ans, sa position va évoluer comme son regard sur le père devenant plus critique, la peur plus affûtée car conscientisée.
 Qu'elle subisse ou non la violence physique du père, il y a dans 80% des cas une dévalorisation envers l'enfant, une violence psychologique de part les scènes terrifiantes auxquelles elle assiste et/ou entend.

 Ce père sera craint et progressivement détesté, l'amour devient haine ou plus exactement un tiraillement se créera, mixte de ces deux sentiments.

 La  suite : soit papa est arrêté, séparé de maman selon l'âge de l'enfant ce peut-être un soulagement mais il en restera des séquelles plus ou moins importantes., soit la famille survivra dans une ambiance destructrice.
Selon le contexte, un lien fille/père peut se retisser, lentement car un père le sera pour toujours et s'il fit partie des années durant de la vie de sa fille, elle aura des difficultés à totalement couper le lien.
 A lire

Le père "autoritariste" négatif avec des traits de narcissisme.

Avec ce profil nous retrouvons la violence psychologique mais plus sournoise car souvent cachée sous des apparences, des mots : "c'est pour ton bien que je te dis cela !" "tu verras plus tard, faut bien se plier aux ordres" etc.etc.
Les interdits foisonnent : ne pas déranger papa, ne pas crier, ne pas exprimer, être toujours comme il le veut...
Le papa qui s'occupe de lui, fait passer ses besoins ou priorités en premier, la maison vit à son rythme.

C'est un autre style de peur que la précédente mais tout aussi ravageuse dans ses conséquences psychologiques même si la mère fait tampon entre la fille et le père, adoucissant les injonctions de ce dernier en rassurant son enfant.

En grandissant, la fille va se révolter et je le lui souhaite pour s'émanciper ce ce formatage paternel tout en angle acéré.
La colère car rôde l'idée "de ne jamais en faire assez, jamais assez bien, jamais comme il faut" induit des schémas de perfection, d'anxiété, de performance si l'enfant à une forte personnalité mais si la fragilité l'emporte risque d'échec face à la vie.

Ces schémas de vie sont valables pour les profils précédents et suivants à quelques nuances près, seul le papa poule ne fera pas autant de dégât
Soit elle cherchera très vite à créer son propre foyer en fuyant ce père, soit elle errera dans la vie reproduisant à l'infini les relations parentales = homme narcissique/autoritaire, soit elle se masculinisera...


Le père manipulateur? 2 "types" de manipulateur.

Prudence car la manipulation concerne plusieurs profils très variés, un papa poule peut l'être, un narcissique non.
Mon profil est celui du vrai manipulateur non violent. La manipulation peut se terrer derrière la plus grande gentillesse, la bienveillance. 
L'objectif d'une manipulation dépend du contexte, de ce que désire le père.

 La pire des manipulation pour un enfant reste la culpabilisation, rôle qu'endosse un père ou une mère se posant "en victime". Une manipulation douce !

L’encensement de l'enfant le perturbera à vie car le jeu pervers du "tu es magnifique ma fille, mais tu devrais...." tu veux ceci, et bien donne-moi cela..." "je travaille beaucoup pour que tu ne manques de rien..."ces propos anxiogènes laissent des traces

Parents rassurez vous, ces phrases tout le monde peut les dire, c'est la récurrence sur des années qui est périlleuse comme un matraquage répété, seriné bien trop souvent, un manipulateur les utilise beaucoup.

Pourquoi la fille en arrivera à s'éloigner du père ? 
Cette manipulation concerne toute la famille avec un besoin d'emprise, de pouvoir sur l'autre, les autres et les séquelles en sont terribles. La culpabilité, une difficulté à se situer, à penser par soi-même. 

La mère joue un rôle important selon son comportement soit rassurant, soit tampon, si elle est fragile un sentiment d'insécurité dominera

Très souvent c'est vers l'âge adulte que l'enfant discernera le rôle ambiguë du père et le manque de liberté d'être sans en payer le prix...."une mauvaise fille" si elle n'est pas conforme à ce que papa attend d'elle.

L'éloignement sera souvent l'attitude adoptée mais pas la confrontation car la crainte de blesser ce père incite à l'évitement.
Certaines en prendront conscience d'autres non et traineront à vie une image d'elle égratignée  en manque d'estime.

La manipulation perverse.
Bien plus visible que la précédente car factuelle en utilisant des choses, personnes, animaux aimées de l'enfant comme objet de chantage ou comme exemple.

Une jeune femme me racontait, qu'enfant si son père estimait qu'elle n'était pas sage, se rebellait, il prenait le chien et l’enchaînait avec interdiction de le nourrir et en cas de désobéissance menaçait de le tuer.

Un autre punissait le petit frère pour qu'elle comprenne que tout acte non conforme avait des conséquences sur les autres.
Comment aimer un tel père instaurant un règne de la terreur dans lequel tout le monde paye pour l'autre ?

Culpabilisation ici également, crainte induisant un blocage psychologique, de l'angoisse, un sentiment d'infériorité et des carences émotionnelles/affectives.

Elle détestera cette homme avec le risque de projeter sur tous les autres hommes cette perversion affective.
Un lien peut-il se renouer ? Difficilement car ce type de manipulateur le restera à vie, la psychorigidité ne rimant pas avec prise de conscience. 

Rien n'est jamais parfait dans une éducation, mais certains profils de père ou mère n'assumant pas leur rôle, ayant des comportements destructeurs créeront chez les enfants une difficulté à grandir "normalement", l'identité sera fragile en manque de confiance. Lire "Image parentale et vie amoureuse"

Certains enfants résilients s'en sortiront fort bien, point positif faisant comprendre que rien n'est définitivement "écrit", que le pire démarrage dans la vie, une enfance sacrifiée peut faire de formidables adultes.

Cet article est informatif, généraliste, il décrit des profils bruts, dans la réalité des nuances sont présentes.

Laissez des commentaires sur vos expériences, d'autres profils, oui il en existe beaucoup d'autres qui feront l'objet d'un autre article.

Me consulter en cabinet : 0611688998
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mardi

Liberté d'expression, censure et colère. Avons-nous, encore, le droit de tout dire ?

Liberté d'expression, censure, auto-censure et colère.
Avons-nous, encore, le droit de tout dire ?


Vivre libre d'expression ou s'auto-censurer ?

Avons-nous, encore, le droit de tout dire ?

Ma réponse est "non"
Avons-nous encore le droit de faire, vivre comme nous le voulons ?

Ma réponse est "non"  à nuancer.

Aimez-vous le web, téléphoner de partout et n'importe où ? Ou ceci vous ennuie totalement ?  

De quel droit impose t-on, car il s'agit bien de ça, l'utilisation d'internet.

Nous avons le droit de n'avoir aucun plaisir à l'utiliser, non par méconnaissance mais par goût. 

Le refus de s’aliéner à une machine semble légitime, comme celui de pas écouter de la musique ou une radio.
Pourquoi nous "contraindre" à cette dépendance "isolationniste", à des frais supplémentaires ?
Une intrusion inquisitrice dans l'existence de chacun, pour paramétrer les plus fragiles, un conditionnement réduisant l'homme à un robot dont la faculté de penser par lui-même s'amenuise déjà.

Peut-on vivre bien en étant "différent" ?
Ma réponse est "non"
 rien n'a évolué dans les mentalités, tout dépend ici du milieu et du secteur géographique où vit la personne.
Homosexuel(le), infirme, personne très âgée, obésité etc..
 Le regard de la société vous renvoie de vous-même une image négative et c'est là que le mal-être s'installe.

Vous n'êtes pas conforme aux critères d'une société trop superficielle...cachez-vous !
Je souhaite que ce type de comportement "ostracisant"" reste rare

Avons-nous le droit d'exprimer une nuance, un désaccord, en dehors du cercle des intimes ?

Ma réponse est "non"
Ce petit article n'a rien de politique car je suis a-politique.
Il exprime une "sidération" au vu de ce monde occidental qui, en dehors de la technologie, régresse  dans l'infiniment petit plus qu'il n'évolue.

Le seul avantage de l'âge : vieillir offre un regard comparatif, panoramique sur soi-même, les proches, la vie, les sociétés humaines et/ou de noter l'évolution de l'humanité.
Flash back sur le passé  proche.

Était-ce mieux avant ? NON,
 il faudrait définir cet "avant" - je reste à l'échelle humaine d'une vie,  
du concret car je parle du vécu !
Était-ce pire avant ? NON
au regard de l'échelle d'une vie humaine contemporaine.

Si nous regardons  au 19ème et au début du 20ème siècles, je dis OUI les conditions de vie étaient épouvantables, la médecine moderne balbutiante, les droits de l'homme inexistant et pire encore pour la femme et les enfants.

Qui censure qui et quoi ?

Officiellement, légalement : personne sauf pour les situations extrêmes.
Sommes-nous encore dans une démocratie ?
OUI,
et que ceux criant "à bas la dictature" aillent faire un tour dans certains pays vivant sous des lois féodales, dictatoriales, dans lesquelles tout type de manifestation ou de rassemblement est interdit et puni par la loi !

Nous vivons en démocratie, tout ou presque reste permis sans retour de bâton, bien que sournoisement une contrainte envahie les foyers : les applications "pensent à tout"  à votre place, tout le monde se dirige vers le même endroit dixit tel site ou émission etc..etc...

Notre cerveau, les neurones non sollicités se meurent, les connexions traînent; bref un cerveau qui ne sert pas assez fonctionne moins bien, certaines capacités s'éteignent comme l'intelligence par exemple.
Le cerveau a besoin de sucre, de gras...sans excès bien sûr, les supprimer totalement représente un risque.
Manger du gluten ?
 Quelle horreur ou quel erreur de ne pas en manger sera plus exact, sauf en cas d'une maladie orpheline, ne le supprimer pas, le corps en a besoin
Madame, enceinte !
 Interdit de manger de la charcuterie, de boire un verre parfois, du poisson, de la viande etc...et si nous faisions confiance à la femme enceinte pour s'écouter, savoir se faire plaisir de temps à autre semble sensé !

Protection, protection, prévention, précaution...
STOP ! la protection devient la dépendance, la prévention transforme le moindre acte en angoisse, la précaution enfin le principe de précaution rend timoré, lâche.
Le TROP devient l'ennemi du Mieux en coupant l'individu de ses ressources personnelles.

Le problème n'est pas l'état posant l'interdit, mais l'individu qui en masse génère des interdits au nom de...la liberté d'expression personnelle se devant d'être conforme à ce que cette masse décide: "c'est un sale con" il est interdit de nuancer, d'argumenter...la sanction est irrévocable, condamné  et gaffe si tu ne veux pas l'être aussi, soit en accord avec la masse.
Nous appelons ce type de société : "dictature" et nous y allons.
Est-ce l'ennui, le manque d'adrénaline, de sensationnel qui génère autant de colère chez l'individu ?
Le trop de protection, de confort, de sans risque rendent linéaire, monotone l'existence...
Il suffit d'apprendre à s'occuper autrement que dans un état de haine dévastatrice.

Le manque de liberté vient de l'auto-censure s'imposant par le biais des autres qui ne sont ni des intellos, ni des penseurs, ni des scientifiques, rien d'autre qu'une masse d'individus faisant bloc. 

Sauf que l'auto-censure prend un contrôle pervers de tout à chacun et que la réelle notion de "liberté" au sens large se pose
La loi interdit de tuer, voler et violer, terroriser et battre autrui, ce qui semble la moindre des choses pour une société se voulant évoluée, démocratisée et tolérante.

La société c'est un ensemble d'êtres humains vivant en groupe organisé sous des lois, règles communes auquel le groupe doit se conformer.
Au sein de cette société, se créent d'autres sociétés régies par d'autres lois, ici celles d'inconnus se reconnaissant à travers le moralisme, la rage alimentés par des rumeurs.

Le fond, la vérité ? 
"On s'en fout, le truc qui fait du bien : déverser sa haine, injurier"
Une sorte de thérapie "poubelle" pourquoi pas tant que cela ne détruit pas !
Je n'adhère pas du tout á ce comportement
Les réseaux sociaux deviennent un déversoir de haine, de rancoeur, de virulence, violence. 

Pas de nuance, pas de réflexion, pas de recul, de l'immédiat rien que de l'urgent, du zapping, du superficiel...les journalistes perdent les règles de base de leur profession 
"vérifier avant d'informer"
Le quidam lui ne s'informe pas, il balaie large en quête du sensationnel, de la rumeur, fausse ou vraie, peu importante, y rajouter sa touche d'aigreur nourrira la discussion du soir !

Les médias ? 
Les journalistes pratiquent la langue de bois, exprimer le fond d'une pensée "non conforme", devient un risque !
Leurs invités de divers milieux s'y collent aussi.

Qui ose aujourd'hui "dire" prendre le risque d'une démolition médiatique, parfois psychologique sur les réseaux sociaux par un groupe de frustrés planqués derrière des pseudo afin de déverser leur haine de l'autre, leur haine d'eux-mêmes !

L'art pour s'évader et se "lâcher" sainement.


Si nous laissons faire, sans prendre le contre-pieds afin de renouer avec le fondement de la démocratie : la liberté d'expression, le respect de l'humain,
nous sommes foutus, le respect de soi-même s'effilochera, le silence deviendra "le principe", en perdrons-nous la parole ?


N'est-ce pas ainsi que la
 dictature s'installe ?
Une passivité consentie par lâcheté qui devient facilité pour finir en démission totale.

Ni gagnant, ni perdant, rien que le vide, le silence d'une société devenue muette à force de lâcheté.

De l'ennui nait le chaos, la nature détestant le vide et l'homme plus encore, le réveil signera soit une forme de renaissance humaniste soit un effondrement de la démocratie.

Quand la société recule de plusieurs décennies, ceci dit, les mentalités n'ont pas évolué tant que cela du moins pas au rythme de la science et de la technologie, je m'interroge et m'attriste, car le bien être est là ! Nous avons tout pour vivre bien et malgré "la rogne" nous vivons bien, restons conscients de ce que nous avons...

 La colère aide à la vie, l'agressivité est un instinct de survie, mais ici nous sommes dans la haine, la plainte, la mauvaise humeur...projetées sur autrui, une forme de prise de pouvoir le plus souvent pour éviter de se pencher vers soi-même.

Nous avons le droit d'être en colère, de manifester, d'exprimer, apprenons à canaliser nos colères pour les utiliser au bon endroit !
MAIS il est possible d'agir loin de toute haine qui collectivement détruit tout autant qu'individuellement.

Prendre le temps de réfléchir aux conséquences de propos diffamatoires, de la méchanceté...il y a toujours une causalité à nos comportements.
La limite est celle que l'on sait s'imposer dans cette conscience "je n'aimerais pas que l'on me fasse vivre cela, que l'on me salisse sans connaissance réelle d'un contexte"

Revenons vers le beau, l'art, la création, l'écoute et la compréhension de ce qu'est l'autre, le différent de nous qui peut tant nous apprendre. 


La TCC du docteur Jérôme Palazzolo

Les thérapies cognitives et comportementales ou TCC

de Jérôme Palazzolo

chez Que sais-je ?

Collection(s) : Que sais-je ?, n° 4053
A paraître le  | Broché 128 pages
Tout public
Poche Livre broché
9.00 € 




Les thérapies cognitives et comportementales

Les thérapies cognitives et comportementales (TCC) se proposent de soigner, de manière adéquate et durable, les patients qui souffrent de dépression, de troubles anxieux ou encore d'addictions. Traitant les idées négatives et les attitudes inappropriées, elles favorisent l'apprentissage de conduites plus adaptées à l'environnement personnel et professionnel.

Relativement brèves, scientifiquement évaluées et supposant une étroite collaboration entre le patient et le thérapeute, elles relèvent d'un statut particulier du domaine de la psychologie.

Dans cet ouvrage, Jérôme Palazzolo montre concrètement comment les TCC améliorent jour après jour la qualité de vie des malades.
 Dans le Golfe de Saint-Tropez ou en téléconsultation
  
 https://www.attitude-coach.com/p/comment-ca-marche.html