lundi

Joyeux Noël et Bonne Année sous le signe de la sérénité

Un Joyeux Noël à toutes et tous,
 qu'il vous offre le meilleur.
                                        



Et
Une BONNE ANNEE 2016
Prenez soin de vous, de vos proches, vos amis(es)
Que ce nouveau millésime, que je souhaite excellent, apporte
Amour,
 Santé, 
Argent,
 Amour



et
 Joie de vivre
Que cette année se déroule sous le signe de la sérénité 
&
 de la PAIX

Merci à tous les lecteurs de ce blog pour leur participation.
Merci aux personnes me faisant confiance en m'appelant pour des séances par téléphone/Skype
Merci, à mes patients (tes) me consultant en cabinet

A toutes et tous mes 
Meilleurs Voeux 
pour ces fêtes de fin d'année.

Le cabinet est fermé jusqu'au 04/01/16
Nous nous retrouverons
en janvier pour cause de Vacances !


Me consulter en cabinet à Gassin

Et n'oubliez  pas ceci :
 savoir s'occuper de soi-même
est un signe d'équilibre psychologique.

Laurence

mercredi

Le Père Noël passé à la loupe par une enfant curieuse...


Encore Noël !
Préparation du sapin, décoration, cela me replonge vers le passé.
J'ai 6 ou 7 ans.
Mon rapport au Père Noël en demi-teinte oscille entre fascination et appréhension.
Il m'intrigue et me fait peur tant je le trouve surréaliste, venu d'un univers que je ne capte pas vraiment.
La même histoire chaque 24 décembre, un sapin illuminé et l'attente...
L'enfant et le père noël
Et quelques souvenirs d'enfance d'une nuit pas comme les autres.






Quand une sale gosse décide de "s'offrir" le Père Noël.

La cheminée éteinte, ben oui "faut pas que le père Noël se brûle les fesses ou la barbe"

Enfin c'est ce que dit mon père !
Moi, j'adooore les feux de cheminée !
A mon avis, il est bien plus malin que ça ce voyageur de l'éternel, il vole sur les toits, parcours le tour du monde en quelques minutes,
c'est Superman ! Risque pas de cramer dans les flammes de Noël.
Mon père me raconte des blagues.

Moi, j'attends face à la cheminée éteinte !
Je me demande comment ce gros bonhomme peut rentrer, se glisser dans le conduit sans en ressortir noir de suie ?
Déposer ses cadeaux, repartir et hop. Facile
Supers pouvoirs ?
Oui, il se contorsionne, s'affine et faut croire que ses vêtements s'auto-nettoient ?
J'aimerais bien savoir et le voir.
Ces questions me titillent, suis une curieuse ayant besoin de comprendre et sur ce coup là, la nuit m'attend.

Je décide de ne pas dormir pour guetter ce Père Noël et le surprendre, alors j'attends tout en rêvassant.
Passent les heures.
 Il est en retard, panne de traîneau ou un renne qui perd un sabot ?
Sapin, cheminée symboles d'un jour particulier.


Et si j'allumais la cheminée, histoire de tester les pouvoirs du bonhomme rouge ?

J'avance la main vers les allumettes, hésite 
"si les parents se réveillent, sera ma fête sans cadeaux" et un 25 décembre couleur punition...Le jeu  en vaut-il le coup ?
"Suis certaine qu'il peut déposer ses cadeaux même avec la cheminée crépitante"
Il est le seul et unique Père Noël, universel, le même pour tous les enfants du monde.

Que fabrique le bonhomme, marre de guetter sa descente et peut-être qu'il rentre par la fenêtre ?
"Il tricherait alors, pas de supers-pouvoirs ? J'y crois pas !"
Et puis la fenêtre est fermée, non, non il se glisse dans la cheminée, tout le monde le dit.

Ok, mais quand il n'y a pas de cheminée, comment dépose t'il les cadeaux ?
 Mystère ou encore une blague des parents, parce que je me demande si cette histoire de Père Noël c'est pas une histoire d'adulte...
Père Noël pressé ? ou en panne ?
Ils ont peut-être besoin de croire à "La Magie de Noël" pour se sentir plus forts ?
Ou pour me mener par le bout du nez ?
"Si t'es pas sage, le Père Noël t'apportera pas ce magnifique cadeau "
"Si tu n’obéis pas, ta lettre ne lui parviendra pas"
"Si, si...."
Faut croire que la vie se résume à cela, "t'es sage, tu as, pas sage, clac t'as pas" et tout cela à cause à qui :
"Le Père Noël"
Il me casse les pieds celui là.
Tiens j'allume la cheminée, et s'il se brûle le derrière, bien fait pour lui !

4 heures du matin, mes paupières s'alourdissent, je lutte, lutte et toujours pas de Père Noël.
Le feu éclaire le salon...Il a sûrement peur du feu.
Parlons en de ses supers-pouvoirs, ah les parents et leur croyance idiote pour simplement nous faire rester sage !
Je m'endors.

Matin pâle, mon père me réveille doucement. 
"Regardes le Père Noël est passé, il a allumé la cheminée en partant"
Je rigole ! Vraiment ces parents sont d'une naïveté !
Au pied du sapin des tas de paquets de toutes les couleurs et dimensions.
"Zut, le l'ai raté"
Curieuse, je jette un oeil vers la cheminée, pas d'odeur de saucisse grillée, ni de bout de tissu rouge...Rien.
Un joyeux Noël à tous les enfants du monde
"Laurence tu ouvres tes cadeaux"

Je déballe, ouvre, regarde, m'exclame et déclare 
" Il est quand même sympa ce Père Noël" 

A lire sur le Père Noël pour ne plus se faire mal
et celui-ci sur le thème du bonheur

Voici les souvenirs d'une sale gosse qui un soir de Noël décida de ne pas croire en ce bonhomme mythique, mais que la magie de l'instant ramena vers l'enfance et l'enthousiasme !


Un merveilleux Noël à tout le monde de 1 à 99 ans,
 que cette nuit reste la plus belle évasion, 
une porte ouverte vers la magie.



Me consulter en cabinet 
www.psychotherapie-laurence-rigody.fr sur Gassin  (Var)
Me consulter par téléphone/Skype ou mail, les infos sont ici 

vendredi

Découvrir Saint-Tropez. Voyage dans le passé

Les fêtes sont à notre porte et la légèreté s'impose dans ce marasme de fin d'année.

Tout le monde connaît Saint-Tropez, ce village des stars, vibrant d'animation en été.
Yachts démesurés, villas gigantesques, le luxe s'invite à chaque pas.
Mais,
Un vrai village de pêcheurs, source de vie à l'époque.
Saint-Tropez fut avant cela un port de pêche,
un site rural dans lequel les moutons s'égayaient autour de la citadelle
Voici quelques vues anciennes de Saint-Tropez.

Ces photos nous racontent l'histoire de personnages, de familles
en nous proposant de ce village un visage tout en nostalgie.

Si ces photos vous appartiennent merci de me le signaler.
J'ai pioché ces clichés sur le net les pensant libre de droit, sauf erreur de ma part.
Si vous possédez des photos inédites, désirez les partager, je les publierais  sur ce blog.

Bon voyage dans le passé !

La citadelle






Quartier de la Ponche

Vue du village




Les gendarmes, une image plus récente
Le port aujourd'hui

Un livre à acheter pour découvrir des photos du temps passé.

Site à voir pour les photos

Me consulter en cabinet
https://www.psychotherapie-laurence-rigody.com

mercredi

L addiction amoureuse, la TCC à votre secours !

L'addiction amoureuse, la TCC à votre secours !

Que faire et dire ?

En TCC, thérapie cognitivo-comportementale, de la dépendance affective, 
un protocole

particuliers permet de gagner en autonomie et de tordre le cou une bonne fois pour toute à cette dépendance amoureuse si douloureuse et cause de rupture.

Voici quelques conseils pour déjouer la dépendance amoureuse.

Quand la solitude est intolérable si elle dure plus de quelques minutes, 
 l'incapacité à rester seu(e) dégénère en angoisse, l'addiction à l'autre surgit
Et l'autre devient "obsession" tant le manque focalise sur l’absence et que le face à face avec soi-même est impossible.


L'être humain est un animal social et il est normal de rechercher la présence de l'autre.
Nous avons besoin de parler, de reconnaissance, d'échanger...de nous sentir aimé.
L'humain a besoin d'être relié aux autres set cela signe l'évolution de l'homme qui sans cette capacité, cette nécessité serait un être primaire coupé de toute sociabilité.
Le besoin affectif reste normal, il devient pathologique lorsqu'il n'est jamais comblé.
Plus l'incapacité à rester seul(e) un long moment est forte, plus le besoin de l'autre se renforce virant à
la crise de panique, l'hystérie, le harcèlement etc.

Question à vous poser :

combien de temps supportez-vous la solitude sans télé, radio, musique ou téléphone ?

La réponse vous indiquera votre degré d'autonomie, sachant que l'être humain ne peut vivre  seul  en permanence sans souffrir.

Le besoin affectif englobe l'amitié, l'autre en général.

Pourquoi ce besoin affectif ?

Le plaisir commun à toute l'espèce humaine est une pulsion, comme le désir.

Lorsque cette pulsion plaisir/désir n'est pas satisfaite il y a frustration et compulsion
puisque le déplaisir l'emporte et qu'obtenir la preuve que l'autre homme provoque de la souffrance.

N'oublions pas que l'homme est, également, un animal biologique et dans nos pulsions quelques neurotransmetteurs et neuro-hormones jouent un rôle important.



La dépendance car :
il y distorsion entre les désirs, ce qui est attendu et la réalité de l'autre qui ne correspond pas aux attentes = inadaptation à la réalité.


Pour vous aider à mieux comprendre votre comportement rendez-vous ici en imprimant "la méthode du cercle vicieux ou analyse de comportement
car la première étape consiste à être dans une auto-observation neutre afin d'établir dans le détail
 et à l'instant "T" vos émotions, vos pensées, comportement et la situation déclenchant le problème à savoir l'addiction.

Cette approche de soi-même permet de se comprendre, de prendre du recul, donc d'analyser plus lucidement vos comportements - sans préjugés- c'est préférable car vous êtes votre sujet d'étude et vous faites un constat.


Gagner en autonomie consiste à s'exposer à votre peur de la solitude, voici l'autre étape, à pratiquer sur plusieurs jours quotidiennement

Lancez-vous des défis graduels en résistant à l'envie - pulsion - de contacter l'autre, affronter sans jugement, ni déni  de ce qui est.

 Noter les avantages que vous en retirez -estime de soi, appréciation de ce moment de solitude etc...

Entrainez-vous comme vous le faites pour pratiquer un sport, apprendre une langue
pensez à pratiquer la respiration, de la relaxation pour "canaliser" les émotions

Modifier les schémas cognitifs, idées que vous avez sur l'autre, voici  une autre étape.

L'objectif identifier vos attentes en fonctions de ce qu'est l'autre. Réalistes ou pas ?
Peut-il (elle) combler vos désirs et être celui ou celle que vous souhaitez.
Lâcher le besoin de contrôle de l'autre permet de reprendre le sien, donc d'être moins dans la demande exacerbée.

Comprendre, en modifiant les schémas, souvent anciens et ancrés depuis l'enfance que vous pouvez vous libérer d'une souffrance passée...
Se pencher vers soi-même permet de cerner ce que vous, vous apportez, donnez à l'autre.

Faire la genèse de la relation du début à la fin, souvent la rupture, permet de créer d'autres images ou représentations.
 Oui, une relation amoureuse peut s'écrire autrement que dans ce besoin addictif de l'autre.

L'individualisation consiste à être SOI face à l'autre, autrement que dans le désir de l'autre en acceptant tout, en se reniant, souvent dans un non respect de soi-même et du, de la partenaire. Voici une autre étape à travailler.

S'affirmer sans craindre le rejet, oser être au lieu d'avancer masqué et dans l'attente de l'impossible.

"J'aimerais, je pense que
, non je ne suis pas d'accord etc"
Apprendre à s'aimer 
A pratiquer au quotidien et graduellement sur plusieurs semaines en pensant à noter vos ressentis, idées et comportement sans oublier d'écrire ce que vous gagnez  à agir ainsi.

S'ouvrir aux autres en créant des liens sociaux donne la possibilité de sortir de la possessivité exclusive amicale, familiale et amoureuse. Voici pour l'ultime étape

Le partage affectif, donner/recevoir c'est la compréhension que oui vous êtes apprécié(e), reconnu(e) par vos relations  plus ou moins proches.

Il importe de créer des liens durables, constants, de ressentir du plaisir à fonctionner ainsi. D'accepter que certains liens se dégradent.
En outre ces liens jouent un rôle important en cas de séparation, en trouvant dans les autres une sources de satisfaction, une autre façon de se remplir.

C'est ainsi que l'équilibre s'installe, en vous et vous avec les autres.


Le lien pour accéder aux articles sur la dépendance affective

Comment éviter de devenir dépendant affectif ?

A lire pour Booster la confiance en soi

En savoir plus sur la thérapie cognitivo-comportementale


L'amour doit rester, pour le vivre sereinement, un lieu de respect,  de partage, de regard posé sur l'autre et d'acceptation de la différence.

Ayez des amis(es), des relations, soyez cet animal social emprunt d'attention pour les autres et pour lui-même, vous aimerez positivement



 Me consulter en cabinet (Var)

mardi

Comment ne pas être dépendant affectif ? 5 Conseils préventifs

Ne pas être dépendant affectif est-ce possible ?

Frustration, colère, peur ? Est-ce de l'amour ?
 Voici 5 conseils à mettre en pratique

On en parle, on écrit sur la dépendance affective se déclinant autant au féminin qu'au masculin.

S'en libérer, en guérir etc., ce qu'il faut mettre en place pour canaliser émotion/cognition négatives


Ce travail long et souvent complexe est nécessaire.



Toutefois, la prévention semble une alternative
peut prise en compte à ce jour.
Pourtant certains signes devraient alerter l'entourage - l'anxiété - dès le jeune âge, 
le manque de confiance en soi de l'enfant, de l'ado sont des alertes de
 1. des troubles anxieux 
 2. d'une forme de dépendance -angoisse d'abandon forte -

Aujourd'hui je vous propose 5 conseils pluriels, un conseil en contient d'autres, pour éviter de sombrer dans la dépendance affective

La solution est, également, à chercher ailleurs pour éviter cette souffrance d'amour, une addiction à l'autre détruisant, souvent, une relation.

La dépendance étant un symptômes anxieux, il importe de travailler l'anxiété en général et de mettre en place un comportement évitant de "sombrer" dans celle-ci, ne pas devenir un dépendant affectif 
Autrement dit, mieux vaut prévenir que guérir.

Voici donc cinq conseils pour éviter la dépendance affective, à prendre en compte dès l'enfance.
Ce message concerne également les parents d'enfants anxieux.

Vous avez sûrement lu cet articles : 9 conseils pour se libérer de la dépendance
et celui : pourquoi la dépendance affective
En allant sur ce lien : Dépendance Affective vous accédez à tous les articles sur ce thème.

Ces conseils sont généralistes, à lire avec recul, car ils ne peuvent prendre en compte tous les facteurs en jeu
(éducation, environnement, première histoire d'amour, lien avec les parents, l'image que vous avez du couple, et votre propre personnalité.)

Ne pas "devenir" dépendant affectif reste possible sous condition de bien se comprendre, se connaitre, savoir se poser ses propres limites psychologiques est très important.

Les conseils indiqués sont complémentaires les uns des autres.

En premier comment repérer le risque d'être dépendant ?
Les signes annonciateurs sont déjà l'anxiété, l'angoisse d'abandon, un manque d'autonomie, le besoin exacerbé d'attention...
Elle se révèle très tôt dans les relations amicales.

L'adolescence mettra déjà en avant un besoin viscéral d'exclusivité amicale, le, la meilleur(e) copain(ine) ne devra avoir pour ami(e) que vous et personne d'autre. Le partage est exclu de ce type d'amitié, vous ne donnez pas à l'autre le droit d'échanger avec une autre personne que vous.
L'enfant, l'ado souffrira, vivra cette situation comme une trahison.

L'angoisse surgit avec la sensation d'être rejeté(e), si une scène s'ensuit, un harcèlement de cet(te) ami(e) le risque d'être dépendant affectif pointe son nez.

Chez l'enfant, il appartient aux parents de lui apprendre le partage, l'échange, la valorisation de ce qu'il fait, mais pas trop.
Chez l'ado, le rôle parental sera de faire prendre conscience de l'exagération de ses attentes, à moins que l'ami(e) cause du problème n'intervienne pour expliquer l'aberration du comportement.

Le problème reste que le plus souvent les parents ne savent pas ou ne comprennent pas la nécessité d'une discussion car l'un ou l'autre, voir les 2 sont des anxieux.
Un enfant livré à lui-même(parents séparés, décès d'un parent etc.) peut développer ce comportement, comme un enfant-roi qui adulé n'a pas de limites et ne supporte pas la frustration.

Le manque commun éducatif :  ne pas apprendre à l'enfant à prendre en compte les besoins de l'autre, le manque de socialisation, difficulté à rentrer en contact avec l'autre forment le terrain de la dépendance affective ou d'un  autre comportement difficile plus dangereux.
  
Voici pour la première alerte qui prise en compte permettra d'éviter le glissement vers la dépendance amoureuse ou une recherche de reconnaissance á tout prix dont la délinquance fait partie. 

En deux, que doit mettre en place un jeune adulte pour éviter la dépendance ?
Pensez que le sentiment amoureux est le révélateur des manques, peurs et désirs souvent inconscients, les carences affectives re-surgissent en force chez l'anxieux, à ce sujet je ne peux que conseiller de voir un professionnel pour se dégager troubles anxieux.

Apprendre,  jeune adulte, à canaliser vos émotions, dont une : la frustration.
"J'accepte que tout ne soit pas comme je le veux "
Forcez vous à nouer des liens avec diverses personnes en acceptant de n'être pas le centre, de pas attendre un coup de fils de celle-ci ou de celui-la en vous ressentent isolé(e).

Méfiez vous également d'une tendance :
  *à faire pour les autres alors qu'ils ne demandent rien.
  *à ne jamais rien demander
  *à refuser ce que l'on vous donne ou propose.
Demandez-vous à quoi correspondent ces attitudes, pourquoi agissez-vous ainsi ?

En trois, prendre des initiatives, ceci à tout âge.
Le blocage majeur d'un vrai dépendant affectif, donc d'un anxieux, est de ne pas, dans la sphère privée, prendre d'initiatives par peur de l'échec, d'être mal perçu, de se tromper avec en toile de fond : le manque de confiance en soi-même.

J'écris "sphère privée" pour tout ce qui concerne les liens affectifs, il manque l'affirmation de la pensée ou besoin d'un référent (parents, proches etc..) avant de prendre une décision, ceci induisant une forme de 
"Passivité psychique" symbolisée par "l'attente", une soumission aux événements assortie de rumination négative.

Au lieu de se figer dans l'attente d'un coup de fil (exemple ci-dessus en 2), mieux vaut prendre l'initiative d'appeler le copain ou la copine !

 Objectif : travailler la peur du rejet en sortant d'une fausse interprétation des propos de l'autre :
 Vous appelez cet(te) ami(e) pour déjeuner, il, elle n'est pas disponible.
 Tenez-vous en à ce qu'il, elle dit au lieu d'imaginer que vous ne l'intéressez pas.
 Question à vous posez " aimez-vous tout le monde, et en quoi le fait de ne pas apprécier quelqu'un lui porte tort ?"
 A pratiquer à l'école, en Fac, ou travail.
 Osez vous tromper sans ressentir l'échec, mettez vous en danger pour constater qu'il est plus virtuel que réel
et qu'à chaque expérience vous en ressortez plus fort(e).

En quatre, apprendre la maitrise de soi-même.

Voici encore un point récurrent aux anxieux, aux dépendants affectifs, le manque de maitrise d'eux mêmes dans la gestion des émotions, donc de diverses situations.

Les conséquences : le besoin de contrôle sur tout et sur les autres, ce qui est une utopie.
Cette quasi incapacité à se canaliser, à dompter ses angoisses, son impulsivité, tenter de prendre le contrôle de l'autre devient un comportement rassurant. Encore une illusion à faire sauter.
Le dépendant affectif, à défaut de se rassurer lui-même penche vers l'autre pour combler ce vide

Le sport, le Yoga, un art martial etc. sont de très bons outils pour apprendre cette maitrise de soi-même.
Et la Pleine Conscience  ou MBCT que nous travaillons en TCC

Le travail mental consiste à modifier des automatismes ou schémas de pensées.
Ici, je ne peux que vous renvoyez vers les messages sur la dépendance la TCC pour une mise en pratique
Le sujet est trop vaste pour donner un exemple.
Plus vous commencerez jeune et plus les résultats seront au rendez-vous.

Si vous êtes conscient de votre dépendance amoureuse, ce dernier conseil mérite de vous y attarder

En 5, éviter certaines relations amoureuses. Fuyez !

D'entrée certaines personnes vous renverront à votre dépendance affectives, alors mieux vaut éviter de s'engager dans un amour impossible. 
Pensez aux sens de limites.

Éviter les défis impossibles :
 cette femme ou  cet homme très indépendant, libre et plus axé(e) sur les aventures que l'engagement.
Votre dépendance affective vous plongera directement en enfer.

Éviter également certains profils :
 Une, une hyper-narcissique, trop centré(e) sur sa personne ne prendra pas en compte vos besoins = souffrance garantie.

 

 La personne mariée (H ou F) ou déjà engagée dans une relation...Le besoin de contrôle sera mis à rude épreuve, crise d'angoisse à prévoir.

 Prudence avec une personne, qui au début, va se fondre dans vos désirs, s'adapter à vous...le réveil à la réalité risque d'être difficile car ce type de personnalité cherche soit à prendre le contrôle, soit est dans le jeu, soit un, une vrai(e) empathique.

 

 Une personnalité trop marginale ne comblera pas vos manques, certains métiers sont également incompatibles avec votre dépendance...

N'espérez pas changer à son insu une individualité, c'est impossible.

En vous connaissant vous éviterez les écueils de rencontres dévastatrices...pour vous et la dépendance vous collant à l'âme !


A moins que celles-ci vous permettent de dépasser vos angoisses, votre peur de l'abandon et autres symptômes/comportements de dépendance

L'amour n'a pas de frontière et par amour tout est possible.


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